Le président de l'Union nationale des jeunes cadres pour la consultation et la cohabitation pacifique (UNJCP), Me Sidick Sougui Lony, a tenu un point de presse à la Maison des médias du Tchad, ce 26 octobre 2022, relatif aux événements malheureux du 20 octobre dernier, qui selon lui, continuent jusqu'à présent d'engendrer la prolifération des messages haineux sur les réseaux sociaux.
Par cette communication, l'UNCJCP condamne avec la dernière énergie, les messages de haine véhiculés par certains individus, à travers les réseaux sociaux. Elle estime que ces personnes qui font l'apologie de la haine ont pour seul dessein de créer un conflit entre les paisibles citoyens tchadiens, sans pour autant savoir que le peuple tchadien a longuement souffert des affres des conflits dans le passé.
L'UNCJCP, en tant qu'organisation des jeunes et de la société civile, « appelle une fois de plus la jeunesse à ne pas se laisser téléguider et tromper par les hommes politiques ou par des promesses politiciennes ». Quant aux leaders des partis politiques, l'UNCJCP leur demande de jouer la carte de l'apaisement pour que les différends soient réglés, dans un climat serein et de convivialité.
L'organisation déplore la légèreté du gouvernement quant à l'application des textes qui régissent la société civile, celle-ci devant être apolitique, avec un champ d'action différent d'un parti politique. « À nos jours, la plupart de nos organisations de la société civile sont érigées en partis politiques et sont à la conquête du pouvoir, quel que soit le prix à payer », selon Me Sidick Sougui Lony, président de l'UNCJCP.
L'UNCJCP appelle les autorités de la République à « passer à la vitesse supérieure dans la lutte contre les médias et les personnes qui font l'apologie de la haine ». Afin de restaurer et de préserver la paix sociale entre les différentes communautés du Tchad, le bureau de l'UNCJCP suggère d'étendre les dispositions de lutte contre la haine en ligne, de condamner les messages haineux sur Internet, de retirer les messages à caractère haineux, et sans hésitation, les agréments des partis politiques qui font l'apologie de la haine et de la division.
L'organisation préconise l'interdiction formelle des coalitions, mouvements et autres appellations qui regroupent la société civile et les partis politiques, pour redonner le caractère apolitique à la société civile dans son ensemble.
Par cette communication, l'UNCJCP condamne avec la dernière énergie, les messages de haine véhiculés par certains individus, à travers les réseaux sociaux. Elle estime que ces personnes qui font l'apologie de la haine ont pour seul dessein de créer un conflit entre les paisibles citoyens tchadiens, sans pour autant savoir que le peuple tchadien a longuement souffert des affres des conflits dans le passé.
L'UNCJCP, en tant qu'organisation des jeunes et de la société civile, « appelle une fois de plus la jeunesse à ne pas se laisser téléguider et tromper par les hommes politiques ou par des promesses politiciennes ». Quant aux leaders des partis politiques, l'UNCJCP leur demande de jouer la carte de l'apaisement pour que les différends soient réglés, dans un climat serein et de convivialité.
L'organisation déplore la légèreté du gouvernement quant à l'application des textes qui régissent la société civile, celle-ci devant être apolitique, avec un champ d'action différent d'un parti politique. « À nos jours, la plupart de nos organisations de la société civile sont érigées en partis politiques et sont à la conquête du pouvoir, quel que soit le prix à payer », selon Me Sidick Sougui Lony, président de l'UNCJCP.
L'UNCJCP appelle les autorités de la République à « passer à la vitesse supérieure dans la lutte contre les médias et les personnes qui font l'apologie de la haine ». Afin de restaurer et de préserver la paix sociale entre les différentes communautés du Tchad, le bureau de l'UNCJCP suggère d'étendre les dispositions de lutte contre la haine en ligne, de condamner les messages haineux sur Internet, de retirer les messages à caractère haineux, et sans hésitation, les agréments des partis politiques qui font l'apologie de la haine et de la division.
L'organisation préconise l'interdiction formelle des coalitions, mouvements et autres appellations qui regroupent la société civile et les partis politiques, pour redonner le caractère apolitique à la société civile dans son ensemble.