Le parti UNDR condamne "fermement" l'interdiction de la rencontre des Transformateurs à la Maison de la Femme et leur dispersion par la police avec des gaz lacrymogènes, hier, samedi 1er juin.
"Quelles que soient les raisons avancées, c'est l'argument juridique qui doit prévaloir et non le recours à la force. En quoi une réunion dans un endroit clos et protégé peut-elle mettre en cause la sécurité publique ?", s'interroge le parti, par la voix du secrétaire national à la Communication et aux Nouvelles technologies, Laring Baou.
L'UNDR dit prendre à témoin l'opinion que "la dérive dictatoriale du régime en place est en train de prendre une autre tournure. Hier, c'était l'interdiction de la tenue du Congrès de l'UNDR à Mongo. Aujourd'hui, c'est l'interdiction de la rencontre des Transformateurs. Il ne reste qu'à interdire aux partis de fonctionner au Tchad".
D'après le parti, "tous les vrais démocrates tchadiens doivent se mobiliser pour faire arrêter cette pratique qui est d'un autre âge."
"Quelles que soient les raisons avancées, c'est l'argument juridique qui doit prévaloir et non le recours à la force. En quoi une réunion dans un endroit clos et protégé peut-elle mettre en cause la sécurité publique ?", s'interroge le parti, par la voix du secrétaire national à la Communication et aux Nouvelles technologies, Laring Baou.
L'UNDR dit prendre à témoin l'opinion que "la dérive dictatoriale du régime en place est en train de prendre une autre tournure. Hier, c'était l'interdiction de la tenue du Congrès de l'UNDR à Mongo. Aujourd'hui, c'est l'interdiction de la rencontre des Transformateurs. Il ne reste qu'à interdire aux partis de fonctionner au Tchad".
D'après le parti, "tous les vrais démocrates tchadiens doivent se mobiliser pour faire arrêter cette pratique qui est d'un autre âge."