L'ONG Internationale Action contre la faim a organisé mardi à N'Djamena, une journée d'échange sur la problématique de l'accès à l'assainissement dans les établissements sanitaires au Tchad.
L'objectif de cette journée d'échange est de mobiliser tous les acteurs étatiques, humanitaires, universitaires, parlementaires et la société civile afin de discuter et proposer des pistes d'amélioration pour un meilleur accès à l'assainissement dans les établissements sanitaires au Tchad.
Le directeur pays d'Action contre la faim, Théodore Kabore a déclaré que "l'accès aux services d'assainissement reste limité au Tchad et atteint à peine 10% de la population. Ajouté à l'accès limité à l'eau potable estimé à 43%, cette situation affecte la situation sanitaire et nutritionnelle dans le pays."
Seuls 32% des habitants des milieux ruraux -qui représentent 78,1% de la population- ont accès à l'eau potable. Près de 68% de la population pratique encore la défécation à l'air libre et en moyenne 10% de la population a accès à l'assainissement, 33% en milieu urbain et seulement 3% en milieu rural.
L'objectif de cette journée d'échange est de mobiliser tous les acteurs étatiques, humanitaires, universitaires, parlementaires et la société civile afin de discuter et proposer des pistes d'amélioration pour un meilleur accès à l'assainissement dans les établissements sanitaires au Tchad.
Le directeur pays d'Action contre la faim, Théodore Kabore a déclaré que "l'accès aux services d'assainissement reste limité au Tchad et atteint à peine 10% de la population. Ajouté à l'accès limité à l'eau potable estimé à 43%, cette situation affecte la situation sanitaire et nutritionnelle dans le pays."
Seuls 32% des habitants des milieux ruraux -qui représentent 78,1% de la population- ont accès à l'eau potable. Près de 68% de la population pratique encore la défécation à l'air libre et en moyenne 10% de la population a accès à l'assainissement, 33% en milieu urbain et seulement 3% en milieu rural.
Près de 19.000 personnes décèdent chaque année des maladies liées au manque d'accès à l'eau potable et aux mauvaises conditions d'hygiène et d'assainissement.
"Action contre la faim, dans sa lutte contre la malnutrition, est consciente que les causes de la malnutrition sont multi-sectorielles et liées à des facteurs structurels. Cette lutte contre la malnutrition est menée à travers un ensemble d'interventions intégrées et pluri-annuelles portant également sur l'eau, l'hygiène mais aussi l'assainissement", a souligné le directeur pays d'Action contre la faim, Théodore Kabore.
Il a espéré que "les présentes discussions puissent apporter des propositions visant à rendre effectif l'accès à un assainissement de qualité au Tchad et à offrir aux générations futures un monde meilleur".
"Action contre la faim, dans sa lutte contre la malnutrition, est consciente que les causes de la malnutrition sont multi-sectorielles et liées à des facteurs structurels. Cette lutte contre la malnutrition est menée à travers un ensemble d'interventions intégrées et pluri-annuelles portant également sur l'eau, l'hygiène mais aussi l'assainissement", a souligné le directeur pays d'Action contre la faim, Théodore Kabore.
Il a espéré que "les présentes discussions puissent apporter des propositions visant à rendre effectif l'accès à un assainissement de qualité au Tchad et à offrir aux générations futures un monde meilleur".