L'association des jeunes leaders pour les droits de l'Homme et la branche des jeunes de l'association "Tous unis pour les droits de l'Homme" ont organisé lundi matin au lycée La Concorde de N'Djamena, une campagne de sensibilisation sur les droits des jeunes au Tchad. L'évènement était axé sur le thème des droits des jeunes et de la corruption en milieu scolaire.
Le censeur du Lycée La Concorde, Djimadoum Dobanti, a souligné que la situation actuelle du pays est le péril. "On ne comprend rien sur le Tchad, tout est bouffé par tout le monde. (...) Nous savons tous que la corruption est un fléau qui empêche le développement de notre société", a-t-il affirmé.
Selon lui, "de jour en jour, nous vivons des phénomènes" en matière de droits de l'Homme et de corruption. Il estime que "l'éducation de base doit être renforcée."
Le vice-président de l'amicale des jeunes leaders de la Concorde, Mahamat Saleh Abali, a interpellé tous les acteurs de l'éducation nationale, à savoir l'administration, les enseignants, les élèves ainsi que les parents. "Vos apports et le partage de vos expériences nous orienteront et nous guideront".
Le président de l'association des jeunes leaders pour les droits de l'Homme, Natoiallah Ringar, a souligné "qu'un sac vide ne tient jamais debout" et "qu'une chèvre broute là où elle est attachée".
Il a justifié le choix du lycée pour la campagne car "les jeunes constituent le pilier du développement". Natoiallah Ringar affirme que "personne ne respecte les droits des jeunes braves tchadiens." "Vous voyez celui qui lutte pour nos droits, il est jeté en prison. Cela n'est-il pas une façon de négliger la jeunesse tchadienne ?", a-t-il dénoncé, faisant allusion à l'incarcération du défenseur tchadien des droits de l'Homme, Mahamat Nour Ahmed Ibedou.
Il a appelé les jeunes à "serrer la ceinture" et "éviter toute idée qui détruit" le Tchad. "Fréquentez vos écoles et surtout lisez bien les cours", a-t-il dit en guise de conseils.
Le censeur du Lycée La Concorde, Djimadoum Dobanti, a souligné que la situation actuelle du pays est le péril. "On ne comprend rien sur le Tchad, tout est bouffé par tout le monde. (...) Nous savons tous que la corruption est un fléau qui empêche le développement de notre société", a-t-il affirmé.
Selon lui, "de jour en jour, nous vivons des phénomènes" en matière de droits de l'Homme et de corruption. Il estime que "l'éducation de base doit être renforcée."
Le vice-président de l'amicale des jeunes leaders de la Concorde, Mahamat Saleh Abali, a interpellé tous les acteurs de l'éducation nationale, à savoir l'administration, les enseignants, les élèves ainsi que les parents. "Vos apports et le partage de vos expériences nous orienteront et nous guideront".
Le président de l'association des jeunes leaders pour les droits de l'Homme, Natoiallah Ringar, a souligné "qu'un sac vide ne tient jamais debout" et "qu'une chèvre broute là où elle est attachée".
Il a justifié le choix du lycée pour la campagne car "les jeunes constituent le pilier du développement". Natoiallah Ringar affirme que "personne ne respecte les droits des jeunes braves tchadiens." "Vous voyez celui qui lutte pour nos droits, il est jeté en prison. Cela n'est-il pas une façon de négliger la jeunesse tchadienne ?", a-t-il dénoncé, faisant allusion à l'incarcération du défenseur tchadien des droits de l'Homme, Mahamat Nour Ahmed Ibedou.
Il a appelé les jeunes à "serrer la ceinture" et "éviter toute idée qui détruit" le Tchad. "Fréquentez vos écoles et surtout lisez bien les cours", a-t-il dit en guise de conseils.