Le directeur général du ministère de l'Administration du territoire et des Collectivités territoriales décentralisées, Mahamat Zene Alhadj Yaya, a indiqué dimanche, au cours d'un point de presse, que la 4ème conférence des gouverneurs a été un "réel succès."
"Les échanges ont été francs, des engagements ont été pris par les gouverneurs à relever leur niveau d'engagement, de manière à prévenir tout conflit meurtrier, de répondre aux attentes de leurs administrés, et de justifier la confiance placée en eux par le président de la République", a-t-il souligné.
"La promesse faite par le chef de l'Etat de résoudre dans la mesure du possible le problème de l'administration territoriale est d'une importance capitale car la situation sur le terrain est très difficile et les défis très nombreux"
D'après Mahamat Zene Alhadj Yaya, "le président de la République a affirmé que la Diya, si elle découle d'une entente entre un meurtrier et les parents d'une victime, ne doit en aucun cas éteindre l'action pénale. Au delà de ce qu'elle est inique et met en rapport les nantis et les moins nantis, elle peut constituer un permis de tuer et cela est inadmissible."
Parmi les mesures concrètes, par rapport à la prévention des conflits, l'on note la circulaire signée du ministre délégué à la Présidence chargé de la défense nationale, de la sécurité, des anciens combattants et victimes de guerre, le garde des sceaux, ministre de la Justice chargé des droits humains, et celui de l'Administration du territoire et des Collectivités territoriales décentralisées relatif à la Diya ainsi qu'une lettre de mission à l'attention des autorités traditionnelles et coutumières.
"Les échanges ont été francs, des engagements ont été pris par les gouverneurs à relever leur niveau d'engagement, de manière à prévenir tout conflit meurtrier, de répondre aux attentes de leurs administrés, et de justifier la confiance placée en eux par le président de la République", a-t-il souligné.
"La promesse faite par le chef de l'Etat de résoudre dans la mesure du possible le problème de l'administration territoriale est d'une importance capitale car la situation sur le terrain est très difficile et les défis très nombreux"
D'après Mahamat Zene Alhadj Yaya, "le président de la République a affirmé que la Diya, si elle découle d'une entente entre un meurtrier et les parents d'une victime, ne doit en aucun cas éteindre l'action pénale. Au delà de ce qu'elle est inique et met en rapport les nantis et les moins nantis, elle peut constituer un permis de tuer et cela est inadmissible."
Parmi les mesures concrètes, par rapport à la prévention des conflits, l'on note la circulaire signée du ministre délégué à la Présidence chargé de la défense nationale, de la sécurité, des anciens combattants et victimes de guerre, le garde des sceaux, ministre de la Justice chargé des droits humains, et celui de l'Administration du territoire et des Collectivités territoriales décentralisées relatif à la Diya ainsi qu'une lettre de mission à l'attention des autorités traditionnelles et coutumières.