La Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH), en partenariat avec le Bureau du pays du Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme et la délégation de l'Union Européenne, a organisé une cérémonie de lancement officiel du Projet de renforcement des capacités opérationnelles pour la surveillance des droits de l'homme, lors des opérations de maintien de l'ordre par les forces de sécurité intérieure.
Cette cérémonie a vu la présence d'éminentes personnalités, notamment la secrétaire d'Etat à la Justice et aux Droits humains, Bourkou Louise. Lançant le projet, le représentant du président de la CNDH, Belngar Larme Laguerre, a affirmé que ce projet qui démarre aujourd'hui, arrive à point nommé, au moment où les défis et besoins de la protection des droits humains deviennent une priorité pour la vie socio-politique du pays.
Ce projet couvre 5 cours d'appel, à savoir celle de N'Djamena, Abeché, Mongo, Moundou et Sarh. Selon lui, ce projet touchera d'une manière ou d'une autre, un nombre important de Tchadiens dans sa mise en œuvre, et contribuera aussi à atteindre les objectifs recherchés. Le représentant du président de la CNDH a précisé que la mise en œuvre de ce projet couvre une période de 16 mois et bénéficie d'un appui financier des deux partenaires, à savoir le Bureau pays du Haut-commissariat des Nations Unies aux droits humains, et la délégation de l'Union Européenne.
Le montant de l'enveloppe du financement s'élève à 405.085 dollars, soit 238.189.920 FCFA. Le président n'a pas manqué de lancer un appel à l'endroit des autres partenaires qui hésitent d'emboiter les pas, afin de promouvoir la protection des droits humains de des libertés fondamentales au Tchad.
Le représentant du Haut-commissariat des Nations Unies, Bureau du pays, Félix Ahouansou, a indiqué que l'intérêt témoigné à cette cérémonie, et par ailleurs au contenu de ce projet, est à ne pas douter du reflet de l'importance accordée aux questions des droits de l'Homme par les institutions ici présentes.
Il faut rappeler que dans le cadre de l'exécution de son mandat au Tchad, portant sur la promotion et la protection des droits humains, le Haut-commissariat des Nations Unies a mis en œuvre depuis le 9 septembre 2021 un projet dénommé « Force de sécurité intérieure » ou encore projet FSI. L'objectif ultime est d'arriver à une meilleure intégration et un respect satisfaisant des droits de l'Homme par les forces de sécurité intérieure, lors de conduite de leurs opérations d'application des lois.
C'est dans cette optique que le Bureau pays du Haut-commissariat des Nations Unies, a inscrit dans ses axes prioritaires d'intervention du projet FSI, le renforcement des capacités opérationnelles en vue d'une surveillance optimale et efficace des droits de l'Homme. Félix Ahouansou a rassuré à la CNDH que le HCDH fera preuve de sa disponibilité et de son ouverture à chaque fois qu'il sera sollicité dans le cadre de l'exécution de son projet. Une photo de famille a mis terme à cette cérémonie.
Cette cérémonie a vu la présence d'éminentes personnalités, notamment la secrétaire d'Etat à la Justice et aux Droits humains, Bourkou Louise. Lançant le projet, le représentant du président de la CNDH, Belngar Larme Laguerre, a affirmé que ce projet qui démarre aujourd'hui, arrive à point nommé, au moment où les défis et besoins de la protection des droits humains deviennent une priorité pour la vie socio-politique du pays.
Ce projet couvre 5 cours d'appel, à savoir celle de N'Djamena, Abeché, Mongo, Moundou et Sarh. Selon lui, ce projet touchera d'une manière ou d'une autre, un nombre important de Tchadiens dans sa mise en œuvre, et contribuera aussi à atteindre les objectifs recherchés. Le représentant du président de la CNDH a précisé que la mise en œuvre de ce projet couvre une période de 16 mois et bénéficie d'un appui financier des deux partenaires, à savoir le Bureau pays du Haut-commissariat des Nations Unies aux droits humains, et la délégation de l'Union Européenne.
Le montant de l'enveloppe du financement s'élève à 405.085 dollars, soit 238.189.920 FCFA. Le président n'a pas manqué de lancer un appel à l'endroit des autres partenaires qui hésitent d'emboiter les pas, afin de promouvoir la protection des droits humains de des libertés fondamentales au Tchad.
Le représentant du Haut-commissariat des Nations Unies, Bureau du pays, Félix Ahouansou, a indiqué que l'intérêt témoigné à cette cérémonie, et par ailleurs au contenu de ce projet, est à ne pas douter du reflet de l'importance accordée aux questions des droits de l'Homme par les institutions ici présentes.
Il faut rappeler que dans le cadre de l'exécution de son mandat au Tchad, portant sur la promotion et la protection des droits humains, le Haut-commissariat des Nations Unies a mis en œuvre depuis le 9 septembre 2021 un projet dénommé « Force de sécurité intérieure » ou encore projet FSI. L'objectif ultime est d'arriver à une meilleure intégration et un respect satisfaisant des droits de l'Homme par les forces de sécurité intérieure, lors de conduite de leurs opérations d'application des lois.
C'est dans cette optique que le Bureau pays du Haut-commissariat des Nations Unies, a inscrit dans ses axes prioritaires d'intervention du projet FSI, le renforcement des capacités opérationnelles en vue d'une surveillance optimale et efficace des droits de l'Homme. Félix Ahouansou a rassuré à la CNDH que le HCDH fera preuve de sa disponibilité et de son ouverture à chaque fois qu'il sera sollicité dans le cadre de l'exécution de son projet. Une photo de famille a mis terme à cette cérémonie.