Le porte-parole adjoint de la Coordination des partis politiques pour la défense de la Constitution Poddi Djimet Bichara, a déclaré mardi dans un communqiué que "la situation politique du Tchad s'est dangereusement dégradée depuis la mi-janvier, avec le déplacement en France du Président de la République pour le sommet de G5 Sahel de Pau."
Cette déclaration fait suite à une rencontre au cours de la même journée des partis politiques membres de la CPDC.
Ils ont évoqué l'arrestation de Bahradine Berdei Targuio, président de l'OTDDH, les remplacements au sein des services de défense et de sécurité ou encore l'usage disproportionné de gaz lacrymogène.
"Tous ces éléments ne font qu'aggraver le climat d'anxieté. Une telle évolution ne saurait laisser indifférent l'ensemble de la classe politique, la CPDC en particulier", selon le communiqué.
Le CPDC "attire particulière la haute attention du Président de la République afin qu'il prenne des initiatives hardies susceptibles de préserver la paix et la sécurité dans notre pays. Les partis politiques de l'opposition, dont la CPDC, n'ont de cesse réclamé l'organisation d'un dialogue national."
La CPDC se dit convaincue que "seule l'organisation du dialogue national réellement inclusif peut enrager cette avancée inexorable vers le chaos qui règne déjà dans beaucoup de pays de la sous-région."
Cette déclaration fait suite à une rencontre au cours de la même journée des partis politiques membres de la CPDC.
Ils ont évoqué l'arrestation de Bahradine Berdei Targuio, président de l'OTDDH, les remplacements au sein des services de défense et de sécurité ou encore l'usage disproportionné de gaz lacrymogène.
"Tous ces éléments ne font qu'aggraver le climat d'anxieté. Une telle évolution ne saurait laisser indifférent l'ensemble de la classe politique, la CPDC en particulier", selon le communiqué.
Le CPDC "attire particulière la haute attention du Président de la République afin qu'il prenne des initiatives hardies susceptibles de préserver la paix et la sécurité dans notre pays. Les partis politiques de l'opposition, dont la CPDC, n'ont de cesse réclamé l'organisation d'un dialogue national."
La CPDC se dit convaincue que "seule l'organisation du dialogue national réellement inclusif peut enrager cette avancée inexorable vers le chaos qui règne déjà dans beaucoup de pays de la sous-région."