Dans un communiqué de presse rendu public le 16 décembre 2021, la Convention Tchadienne de Défense de Droits de l'Homme (CTDDH) se dit « horriblement atteinte par les tortures et le traitement inhumain dont a été victime le mineur Ahmat Adoum Djimet ».
En effet, « l'enfant Ahmat Adoum Djimet a été soumis à un traitement inhumain et des tortures cruelles et dégradantes par le policier Abdallah Wardougou Kebir. Ce dernier accusait la victime d'avoir volé son argent estimé à 7 millions de FCFA, selon une source proche de parents de la victime », peut-on apprendre de la CTDDH.
Ainsi, à la suite d’une visite effectuée auprès de la victime, la CTDDH exprime son indignation contre « cette pratique sauvage et barbare portant gravement atteinte à l'intégrité physique, morale et corporelle de ce jeune garçon ». Par ailleurs, elle estime qu'aucun motif ne pourrait justifier une telle cruauté, de nature à ternir l’image de la Police, un corps censé protéger les citoyens.
Par ailleurs, la Convention Tchadienne de Défense de Droits de l'Homme rappelle que la fuite de « ce tortionnaire ne pourra plus constituer une soustraction à la Justice ». Enfin, elle demande aux autorités de la Transition de diligenter une enquête permettant l'arrestation et la traduction de ce policier devant les juridictions compétentes, avec une possibilité de radiation des effectifs du corps de la Police de ce dernier.
En effet, « l'enfant Ahmat Adoum Djimet a été soumis à un traitement inhumain et des tortures cruelles et dégradantes par le policier Abdallah Wardougou Kebir. Ce dernier accusait la victime d'avoir volé son argent estimé à 7 millions de FCFA, selon une source proche de parents de la victime », peut-on apprendre de la CTDDH.
Ainsi, à la suite d’une visite effectuée auprès de la victime, la CTDDH exprime son indignation contre « cette pratique sauvage et barbare portant gravement atteinte à l'intégrité physique, morale et corporelle de ce jeune garçon ». Par ailleurs, elle estime qu'aucun motif ne pourrait justifier une telle cruauté, de nature à ternir l’image de la Police, un corps censé protéger les citoyens.
Par ailleurs, la Convention Tchadienne de Défense de Droits de l'Homme rappelle que la fuite de « ce tortionnaire ne pourra plus constituer une soustraction à la Justice ». Enfin, elle demande aux autorités de la Transition de diligenter une enquête permettant l'arrestation et la traduction de ce policier devant les juridictions compétentes, avec une possibilité de radiation des effectifs du corps de la Police de ce dernier.