La Haute autorité des médias et de l'audiovisuel (HAMA) a clôturé mercredi à Abéché, la session de formation d’une quarantaine de journalistes et de représentants de médias de province sur la viabilité économique et financière des entreprises de presse.
Le président de la HAMA, Dieudonné Djonabaye, a félicité les journalistes pour leur participation active aux débats.
"Vous avez donné le meilleur de vous-mêmes pour l'approfondissement de la liberté de la presse », a-t-il indiqué. Il a assuré de sa ferme volonté de vouloir contribuer à l'épanouissement de la presse tchadienne, notamment via la formation et le perfectionnement des directeurs, des responsables financiers et commerciaux et des journalistes.
Il a relevé que "quoique fort appréciée par les opinions publiques, cette arrivée massive de nouveaux médias présente des couacs dus à l'inexpérience, à l'improvisation et au manque de formation ».
Selon lui, "la radio n'est pas une entreprise quelconque où l'on se lance au gré de l'humeur. Elle appelle de la part de tout artisan des attitudes procédant d'une démarche commerciale". De plus, "créer une radio, c'est se préoccuper de sa viabilité et de sa vitalité. On ne crée pas une station pour le plaisir d'en créer une ».
Il a appelé à « utiliser ce canal de communication pour semer des graines d'espérance, de paix et de réconciliation ; encourager les tchadiens et les tchadiennes à travailler ensemble pour le bien commun ; et à être des apôtres de l’unité et de la cohésion nationale ».
D’après le président de la HAMA, Dieudonné Djonabaye, « le Tchad regorge d'énormes richesses en ressources humaines. Notre pays a besoin de tous les talents pour la construction de la nation. »
Des recommandations formulées par les participants
Les participants à l’atelier de formation recommandent à la HAMA de rechercher auprès du gouvernement et des partenaires financiers, les ressources financières afin de multiplier les sessions de formation sur l'étendue du territoire dans les deux langues officielles.
Ils appellent également à étendre la formation à tous les corps du métier du journalisme, et à organiser en prélude des prochaines élections des formations plus spécifiques afin d'outiller les journalistes.
Des recommandations ont également été formulées à l’endroit du Gouvernement qui est encouragé à continuer à appuyer les médias nationaux dans leur ensemble pour leur professionnalisation ; renforcer les radios communautaires en ressources humaines compétentes ; augmenter l'enveloppe allouée au fond d'aide à la presse en vue de permettre aux médias nationaux de faire face aux difficultés de tout genre qu'ils rencontrent ; et donner les moyens à la HAMA afin qu'elle puisse jouer pleinement son rôle et plus particulièrement en cette veille d'échéance électorale au Tchad.
Une motion de remerciement a été adressé au Président de la République, à la HAMA, aux autorités de la province du Ouaddai, notamment le gouverneur, et aux formateurs.
Le président de la HAMA, Dieudonné Djonabaye, a félicité les journalistes pour leur participation active aux débats.
"Vous avez donné le meilleur de vous-mêmes pour l'approfondissement de la liberté de la presse », a-t-il indiqué. Il a assuré de sa ferme volonté de vouloir contribuer à l'épanouissement de la presse tchadienne, notamment via la formation et le perfectionnement des directeurs, des responsables financiers et commerciaux et des journalistes.
Il a relevé que "quoique fort appréciée par les opinions publiques, cette arrivée massive de nouveaux médias présente des couacs dus à l'inexpérience, à l'improvisation et au manque de formation ».
Selon lui, "la radio n'est pas une entreprise quelconque où l'on se lance au gré de l'humeur. Elle appelle de la part de tout artisan des attitudes procédant d'une démarche commerciale". De plus, "créer une radio, c'est se préoccuper de sa viabilité et de sa vitalité. On ne crée pas une station pour le plaisir d'en créer une ».
Il a appelé à « utiliser ce canal de communication pour semer des graines d'espérance, de paix et de réconciliation ; encourager les tchadiens et les tchadiennes à travailler ensemble pour le bien commun ; et à être des apôtres de l’unité et de la cohésion nationale ».
D’après le président de la HAMA, Dieudonné Djonabaye, « le Tchad regorge d'énormes richesses en ressources humaines. Notre pays a besoin de tous les talents pour la construction de la nation. »
Des recommandations formulées par les participants
Les participants à l’atelier de formation recommandent à la HAMA de rechercher auprès du gouvernement et des partenaires financiers, les ressources financières afin de multiplier les sessions de formation sur l'étendue du territoire dans les deux langues officielles.
Ils appellent également à étendre la formation à tous les corps du métier du journalisme, et à organiser en prélude des prochaines élections des formations plus spécifiques afin d'outiller les journalistes.
Des recommandations ont également été formulées à l’endroit du Gouvernement qui est encouragé à continuer à appuyer les médias nationaux dans leur ensemble pour leur professionnalisation ; renforcer les radios communautaires en ressources humaines compétentes ; augmenter l'enveloppe allouée au fond d'aide à la presse en vue de permettre aux médias nationaux de faire face aux difficultés de tout genre qu'ils rencontrent ; et donner les moyens à la HAMA afin qu'elle puisse jouer pleinement son rôle et plus particulièrement en cette veille d'échéance électorale au Tchad.
Une motion de remerciement a été adressé au Président de la République, à la HAMA, aux autorités de la province du Ouaddai, notamment le gouverneur, et aux formateurs.