Le chef de l'Etat Idriss Déby a annoncé vendredi le lancement avant la fin de l'année de la construction de la route Djoumane-Laï, répondant à une préoccupation de toute la population de la Tandjilé. Il a admis le grand enclavement de la province.
"Attendez, on a trop parlé de l'enclavement de la province de la Tandjilé. C'est pas la seule province enclavée. Vous avez la Tandjilé, le Batha, le Guéra (...) C'est vrai que c'est un grenier ici du riz. Nous avons initié un programme en son temps, avant la crise économique qui nous a durement frappé, pour la construction de la route Laï-Djoumane", a-t-il déclaré.
"Les études sont prêtes. J'ai vu que la population de la Tandjilé s'intéresse beaucoup plus au désenclavement de cette route là que le projet que nous venons de lancer", a souligné Idriss Déby.
Il a rassuré "qu'avant la fin de l'année, les travaux de la route Djoumane-Laï vont commencer."
Selon lui, "c'est une bonne nouvelle. Nous avons construit un pont, mais le choc que nous avons eu eu début 2014 nous a contraint d'abandonner l'ensemble des projets de développement. Nous allons reprendre petit à petit."
"Attendez, on a trop parlé de l'enclavement de la province de la Tandjilé. C'est pas la seule province enclavée. Vous avez la Tandjilé, le Batha, le Guéra (...) C'est vrai que c'est un grenier ici du riz. Nous avons initié un programme en son temps, avant la crise économique qui nous a durement frappé, pour la construction de la route Laï-Djoumane", a-t-il déclaré.
"Les études sont prêtes. J'ai vu que la population de la Tandjilé s'intéresse beaucoup plus au désenclavement de cette route là que le projet que nous venons de lancer", a souligné Idriss Déby.
Il a rassuré "qu'avant la fin de l'année, les travaux de la route Djoumane-Laï vont commencer."
Selon lui, "c'est une bonne nouvelle. Nous avons construit un pont, mais le choc que nous avons eu eu début 2014 nous a contraint d'abandonner l'ensemble des projets de développement. Nous allons reprendre petit à petit."