Tchad : la décentralisation de l'administration, un défi pour les autorités. Illustration. © Alwihda Info
La première session ordinaire du Haut Conseil des Collectivités Autonomes et des Chefferies Traditionnelles (HCACT) a pris fin mercredi au Palais du 15 janvier à N'Djamena, en présence du ministre de l'Administration du territoire et des Collectivités autonomes, Ismael Chaibo.
Les membres du HCACT se sont penchés pendant deux semaines sur la problématique de la mise en oeuvre de la décentralisation au Tchad, dans l'objectif de ‘‘diagnostiquer et analyser les causes profondes du dysfonctionnement des collectivités autonomes."
Afin de relever les défis liés à la thématique, les membres du HCACT ont été répartis dans trois commissions différentes avec des domaines spécifiques.
"La mission qui nous est confiée est délicate. Nous avons donc de nombreux défis à relever", a déclaré le président du HCCACT, Tamita Djidingar.
Il a appelé les hauts conseillers à se mettre résolument à l'oeuvre pour relever ces défis.
Selon lui, "partout ailleurs en Afrique, la décentralisation de l'administration territoriale est à l'ordre du jour, mais sa mise en oeuvre pose toujours problème, s'agissant d'une nouvelle méthode de gestion des affaires publiques locales. Notre pays n'est pas du reste."
Chaque haut conseiller et président de commission permanente est appelé à "jouer sa partition pour la réussite de la mission confiée par les autorités."
Les membres du HCACT se sont penchés pendant deux semaines sur la problématique de la mise en oeuvre de la décentralisation au Tchad, dans l'objectif de ‘‘diagnostiquer et analyser les causes profondes du dysfonctionnement des collectivités autonomes."
Afin de relever les défis liés à la thématique, les membres du HCACT ont été répartis dans trois commissions différentes avec des domaines spécifiques.
"La mission qui nous est confiée est délicate. Nous avons donc de nombreux défis à relever", a déclaré le président du HCCACT, Tamita Djidingar.
Il a appelé les hauts conseillers à se mettre résolument à l'oeuvre pour relever ces défis.
Selon lui, "partout ailleurs en Afrique, la décentralisation de l'administration territoriale est à l'ordre du jour, mais sa mise en oeuvre pose toujours problème, s'agissant d'une nouvelle méthode de gestion des affaires publiques locales. Notre pays n'est pas du reste."
Chaque haut conseiller et président de commission permanente est appelé à "jouer sa partition pour la réussite de la mission confiée par les autorités."