L'héritier désigné par la famille Royale de l'ancien Sultan du Ouaddaï, Yacoub Saleh Ourada a assisté dimanche à une récitation du saint Coran dans une école coranique à Koundoul, localité située à 20 km de N'Djamena, a constaté Alwihda Info.
La famille Ourada mène depuis plusieurs semaines un plaidoyer pacifique et s'en remet à Allah pour que "le droit soit appliqué et respecté" quant à la désignation du nouveau Sultan du Ouaddaï.
"Nous n'avons pas d'autres issues que de réciter le Coran afin qu'Allah puisse rétablir la vérité et redonner le droit qui est dû", a déclaré un représentant du centre.
Plusieurs invocations ont été prononcées en faveur de la paix, en présence de nombreux récitateurs du saint Coran.
La famille Ourada estime ne pas avoir de reproches personnelles envers le président Idriss Déby mais précise qu'il a été induit en erreur par certains membres de son entourage. Elle l'appelle par conséquent à "surseoir" à son décret n° 1135 du 6 août 2019.
Le nouveau Sultan Chérif Abdelhadi Mahdi a invité samedi d'éventuelles personnes qui auraient des reproches à lui faire, à se rapprocher de lui et le lui dire pour éviter la médisance. Il s'est exprimé peu après son arrivée à Abéché à bord d'un avion de la Tchadia Airlines.
"Celui qui a vu un défaut en moi et n'est pas venu m'en faire part, le jour de jugement dernier, la question lui sera posée", a-t-il indiqué, contestant les allégations selon lesquelles il ne serait pas de la lignée Royale.
Ces derniers jours, plusieurs centaines de civils ont manifesté aux abords du Palais Royal du Sultanat du Ouaddaï à Abéché, avant que les lieux ne soient libérés. Le gouverneur de la province du Ouaddaï Ramadan Erdebou a appelé samedi ceux qui paradent dans la ville à éviter de circuler aux abords du Palais Royal afin d'éviter d'éventuels désagréments.
Le chef de l'Etat Idriss Déby, en séjour à l'Est du Tchad, a regagné N'Djamena ce lundi matin.
La famille Ourada mène depuis plusieurs semaines un plaidoyer pacifique et s'en remet à Allah pour que "le droit soit appliqué et respecté" quant à la désignation du nouveau Sultan du Ouaddaï.
"Nous n'avons pas d'autres issues que de réciter le Coran afin qu'Allah puisse rétablir la vérité et redonner le droit qui est dû", a déclaré un représentant du centre.
Plusieurs invocations ont été prononcées en faveur de la paix, en présence de nombreux récitateurs du saint Coran.
La famille Ourada estime ne pas avoir de reproches personnelles envers le président Idriss Déby mais précise qu'il a été induit en erreur par certains membres de son entourage. Elle l'appelle par conséquent à "surseoir" à son décret n° 1135 du 6 août 2019.
Le nouveau Sultan Chérif Abdelhadi Mahdi a invité samedi d'éventuelles personnes qui auraient des reproches à lui faire, à se rapprocher de lui et le lui dire pour éviter la médisance. Il s'est exprimé peu après son arrivée à Abéché à bord d'un avion de la Tchadia Airlines.
"Celui qui a vu un défaut en moi et n'est pas venu m'en faire part, le jour de jugement dernier, la question lui sera posée", a-t-il indiqué, contestant les allégations selon lesquelles il ne serait pas de la lignée Royale.
Ces derniers jours, plusieurs centaines de civils ont manifesté aux abords du Palais Royal du Sultanat du Ouaddaï à Abéché, avant que les lieux ne soient libérés. Le gouverneur de la province du Ouaddaï Ramadan Erdebou a appelé samedi ceux qui paradent dans la ville à éviter de circuler aux abords du Palais Royal afin d'éviter d'éventuels désagréments.
Le chef de l'Etat Idriss Déby, en séjour à l'Est du Tchad, a regagné N'Djamena ce lundi matin.