La président de l’association des femmes anti-clivage (AFAC), Zenab Florence Ngaina, a félicité lundi le gouvernement et le ministère délégué à la Présidence chargé de la défense nationale et de la sécurité pour "sa détermination à protéger les populations et à lutter contre les conflits intercommunautaires". L'association a fait cette déclaration au cours d'un point de presse à N'Djamena, dans le cadre de la Journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes.
L'association a dénoncé "les cas de torture commises par les forces de défense et de sécurité dans les provinces sous état d’urgence."
Selon elle, "la justice a une grande responsabilité à assumer avec courage pour rendre justice au peuple tchadien."
"Ces derniers temps, l’actualité est marquée par des dénonciations tous azimuts par les différents acteurs de la lutte contre les injustices et les violences, des cas de crimes physiques et économiques sous diverses formes dans notre pays", selon Zenab Florence Ngaina.
L'AFAC oeuvre pour « une garantie de la bonne moralité, de la cohabitation pacifique, de la justice et de la lutte contre le inégalités sociales ». Il s’agit entre autres des relations concernant les actes de violences répétées sur l’ensemble du territoire national restés impunis, les grognes sociales et l’accord de paix de Miski dans la province de Tibesti entre le gouvernement et le comité d’auto-défense de Miski, a indiqué la président de l'association.
L'association a dénoncé "les cas de torture commises par les forces de défense et de sécurité dans les provinces sous état d’urgence."
Selon elle, "la justice a une grande responsabilité à assumer avec courage pour rendre justice au peuple tchadien."
"Ces derniers temps, l’actualité est marquée par des dénonciations tous azimuts par les différents acteurs de la lutte contre les injustices et les violences, des cas de crimes physiques et économiques sous diverses formes dans notre pays", selon Zenab Florence Ngaina.
L'AFAC oeuvre pour « une garantie de la bonne moralité, de la cohabitation pacifique, de la justice et de la lutte contre le inégalités sociales ». Il s’agit entre autres des relations concernant les actes de violences répétées sur l’ensemble du territoire national restés impunis, les grognes sociales et l’accord de paix de Miski dans la province de Tibesti entre le gouvernement et le comité d’auto-défense de Miski, a indiqué la président de l'association.