Le secrétaire général de la CTDDH, Mahamat Nour Ibedou. © Alwihda Info
Le Collectif des organisations de la société civile (COSC) qui réunit plusieurs associations- a dénoncé mercredi "la cabale montée contre la Convention tchadienne de défense des droits de l’Homme (CTDDH) et son secrétaire général Mahamat Nour Ibedou", après l'arrestation pour homicide de Malik Ibet Ibrahim, il y a quelques jours.
"Profitant de l’arrestation d’un membre de cette organisation pour homicide qui remonte à 2014, le gouvernement à travers ses services de renseignement, viole allègrement les procédures réglementaires d’arrestation d’un citoyen à son domicile. Au lieu d’ouvrir une enquête soutenue pour situer les responsabilités dans la transparence afin d’apaiser les cœurs des proches de la victime et d’étayer l’opinion, il cherche par tous moyens et sans preuves tangibles à ternir l’image de la CTDDH et de son secrétaire général engagés pour des causes nobles", selon le collectif.
"C’est ainsi que des e-mails fabriqués de toutes pièces et dont le contenu est sensé être un échange entre le secrétaire général et le présumé accusé, faisant croire à une complicité pour cet homicide, ont été postés sur la toile", ajoute le Collectif des organisations de la société civile.
Il dénonce "vigoureusement ce comportement qui a pour seul but de museler les organisations de la société civile" et estime qu'il s'agit d'une "stratégie de faire taire toutes voix discordantes qui osent dénoncer les injustices criardes qui ne cessent de mettre à mal la cohésion sociale et le bien-être des populations."
Le COSC "condamne ces manœuvres abjectes et ces méthodes lâches et mafieuses indignes d’un Etat qui se dit démocratique."
"Profitant de l’arrestation d’un membre de cette organisation pour homicide qui remonte à 2014, le gouvernement à travers ses services de renseignement, viole allègrement les procédures réglementaires d’arrestation d’un citoyen à son domicile. Au lieu d’ouvrir une enquête soutenue pour situer les responsabilités dans la transparence afin d’apaiser les cœurs des proches de la victime et d’étayer l’opinion, il cherche par tous moyens et sans preuves tangibles à ternir l’image de la CTDDH et de son secrétaire général engagés pour des causes nobles", selon le collectif.
"C’est ainsi que des e-mails fabriqués de toutes pièces et dont le contenu est sensé être un échange entre le secrétaire général et le présumé accusé, faisant croire à une complicité pour cet homicide, ont été postés sur la toile", ajoute le Collectif des organisations de la société civile.
Il dénonce "vigoureusement ce comportement qui a pour seul but de museler les organisations de la société civile" et estime qu'il s'agit d'une "stratégie de faire taire toutes voix discordantes qui osent dénoncer les injustices criardes qui ne cessent de mettre à mal la cohésion sociale et le bien-être des populations."
Le COSC "condamne ces manœuvres abjectes et ces méthodes lâches et mafieuses indignes d’un Etat qui se dit démocratique."