Le fondateur du Mouvement citoyen pour la préservation des libertés (MCPL), une association de la société civile, Jean-Bosco Manga, soutient que l'état d'urgence dans certaines provinces du Tchad rend impossible la tenue des élections législatives.
"Même l'État sait pertinemment qu'organiser les législatives dans le contexte actuel où l'état d'urgence dans certaines provinces oblige à la restriction des libertés publiques, est pratiquement impossible. Voter c'est s'exprimer librement et pour cela, il faut que l'environnement et le contexte s'y prête", estime Jean-Bosco Manga.
D'après lui "le Gouvernement, à travers l'état d'urgence tente juste d'étouffer pour un temps un problème crucial sans chercher à le résoudre durablement. Il faut user des méthodes de résolution pacifique des différents avec l'appui des chefs traditionnels et des personnes ressources qui ne font d'ailleurs pas défaut".
"Même l'État sait pertinemment qu'organiser les législatives dans le contexte actuel où l'état d'urgence dans certaines provinces oblige à la restriction des libertés publiques, est pratiquement impossible. Voter c'est s'exprimer librement et pour cela, il faut que l'environnement et le contexte s'y prête", estime Jean-Bosco Manga.
D'après lui "le Gouvernement, à travers l'état d'urgence tente juste d'étouffer pour un temps un problème crucial sans chercher à le résoudre durablement. Il faut user des méthodes de résolution pacifique des différents avec l'appui des chefs traditionnels et des personnes ressources qui ne font d'ailleurs pas défaut".