Le Gouvernement a validé mardi, au cours d'un conseil extraordinaire des ministres, le plan d'apurement de la dette intérieure du Tchad.
Le plan s’élève à un montant brut d’un peu plus de 515 milliards de FCFA pour 9571 dossiers validés par le cabinet. Avec les créances fiscales de l’État sur certains prestataires d’un montant de près de 30 milliards de FCFA, la dette à apurer après compensation pourrait retomber à 485 milliards de FCFA.
Les dossiers examinés dans le cadre du plan d'apurement comprennent des dettes relatives aux investissements, dettes sociales, subventions et fonds de contrepartie ainsi que les dettes liées aux condamnations judiciaires prononcées à l’encontre de l’État.
La dette intérieure globale elle, se chiffre à 1412 milliards de FCFA. En plus des 515 milliards de FCFA, elle prend en compte la dette conventionnée vis-à-vis de la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC) qui se chiffre à près de 480 milliards de FCFA, le remboursement des bons et obligations de trésor évalué à 392 milliards de FCFA en décembre 2019, ainsi que les dettes conventionnées avec les Banques commerciales qui obéissent à un échéancier de remboursement faisant partie intégrante des conventions signées.
En 2020, 51 milliards de FCFA sont prévus dans le budget de l'Etat au titre de l’apurement de la dette intérieure. L’État recherchera les financements internes et externes sous forme de prêts et d’appuis extérieurs pour y faire face.
La présentation de ce plan fait suite à l’audit réalisé par la société d’expertise comptable PricewaterhouseCoopers, auquel a pris part le cabinet Conseil du ministère des Finances et du budget, la Banque Rothschild et Compagny.
Le plan s’élève à un montant brut d’un peu plus de 515 milliards de FCFA pour 9571 dossiers validés par le cabinet. Avec les créances fiscales de l’État sur certains prestataires d’un montant de près de 30 milliards de FCFA, la dette à apurer après compensation pourrait retomber à 485 milliards de FCFA.
Les dossiers examinés dans le cadre du plan d'apurement comprennent des dettes relatives aux investissements, dettes sociales, subventions et fonds de contrepartie ainsi que les dettes liées aux condamnations judiciaires prononcées à l’encontre de l’État.
La dette intérieure globale elle, se chiffre à 1412 milliards de FCFA. En plus des 515 milliards de FCFA, elle prend en compte la dette conventionnée vis-à-vis de la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC) qui se chiffre à près de 480 milliards de FCFA, le remboursement des bons et obligations de trésor évalué à 392 milliards de FCFA en décembre 2019, ainsi que les dettes conventionnées avec les Banques commerciales qui obéissent à un échéancier de remboursement faisant partie intégrante des conventions signées.
En 2020, 51 milliards de FCFA sont prévus dans le budget de l'Etat au titre de l’apurement de la dette intérieure. L’État recherchera les financements internes et externes sous forme de prêts et d’appuis extérieurs pour y faire face.
La présentation de ce plan fait suite à l’audit réalisé par la société d’expertise comptable PricewaterhouseCoopers, auquel a pris part le cabinet Conseil du ministère des Finances et du budget, la Banque Rothschild et Compagny.