La plupart des bars, dépôts et alimentations sont toujours fermés ce mardi à Mongo, suite à un appel à boycott visant à protester contre la hausse des prix des boissons alcoolisées et liqueurs depuis le début de l'année.
L'appel au boycott lancé par le Collectif tchadien contre la vie chère est respecté à la lettre dans la ville, chef-lieu de la province du Guéra. Ce boycott s'est généralisé dans de nombreuses villes du Tchad, a constaté Alwihda Info.
Les points de vente de boissons alcoolisées ont été désertés par les clients, y compris les habitués.
Les Brasseries du Tchad justifient cette hausse suite à la fin d'une convention d'établissement signée avec l'Etat depuis le 31 décembre 2019. Cela a "contraint les Brasseries du Tchad à appliquer cette hausse afin de faire face au corpus de taxes additionnelles qui leur sont applicables à partir du 1er janvier 2020", selon l'entreprise.
Le buveur tchadien engloutirait pas moins de 33,9 litres d'alcool pur par an en moyenne, essentiellement de la bière (66,3 % de la consommation), selon des chiffres de 2015.
L'appel au boycott lancé par le Collectif tchadien contre la vie chère est respecté à la lettre dans la ville, chef-lieu de la province du Guéra. Ce boycott s'est généralisé dans de nombreuses villes du Tchad, a constaté Alwihda Info.
Les points de vente de boissons alcoolisées ont été désertés par les clients, y compris les habitués.
Les Brasseries du Tchad justifient cette hausse suite à la fin d'une convention d'établissement signée avec l'Etat depuis le 31 décembre 2019. Cela a "contraint les Brasseries du Tchad à appliquer cette hausse afin de faire face au corpus de taxes additionnelles qui leur sont applicables à partir du 1er janvier 2020", selon l'entreprise.
Le buveur tchadien engloutirait pas moins de 33,9 litres d'alcool pur par an en moyenne, essentiellement de la bière (66,3 % de la consommation), selon des chiffres de 2015.