La ville d'Am-Timan, chef-lieu de la province du Salamat, continue de mener une vie assez difficile, après les inondations qui ont causé la destruction du pont et la voie principale.
A peine sortie du calvaire de l'enclavement causé par l'effondrement du pont, la population de la province, et surtout celle d'Am-Timan, risque de connaître le même problème à l'entrée de l'ancien pont.
Pour cause, le pont construit de manière artisanale par les opérateurs économiques de la province du Salamat, risque de s'écrouler à son tour, compte tenu du poids des gros-porteurs qui empruntent l'unique voie de l'entrée à Am-Timan, la capitale de ladite province.
Déjà, les véhicules en provenance des autres villes, n'arrivent pas ou arpentent difficilement, et surtout avec tous les risques que cela comporte à l'entrée. L'unique accès à la ville d'Am-Timan est obstrué par les gros-porteurs qui déchargent pêle-mêle les marchandises.
Pour éviter le pire, les autorités doivent mettre les moyens, pour ne serait-ce que réparer le pont en question. Il faut aussi dire que cette situation a de sérieuses répercutions sur les activités économiques, surtout la flambée des prix qui perdure dans les marchés de la ville et ses environs, à cause de la dégradation de la route.
Il faut rappeler que les hautes autorités du pays ont, à maintes fois, évoqué la construction de la seule voie qui relie la province du Salamat aux villes du Tchad. Si rien ne sera fait dans les mois qui suivent, la population du Salamat vivra la prochaine saison des pluies, de la manière la plus désastreuse.
A peine sortie du calvaire de l'enclavement causé par l'effondrement du pont, la population de la province, et surtout celle d'Am-Timan, risque de connaître le même problème à l'entrée de l'ancien pont.
Pour cause, le pont construit de manière artisanale par les opérateurs économiques de la province du Salamat, risque de s'écrouler à son tour, compte tenu du poids des gros-porteurs qui empruntent l'unique voie de l'entrée à Am-Timan, la capitale de ladite province.
Déjà, les véhicules en provenance des autres villes, n'arrivent pas ou arpentent difficilement, et surtout avec tous les risques que cela comporte à l'entrée. L'unique accès à la ville d'Am-Timan est obstrué par les gros-porteurs qui déchargent pêle-mêle les marchandises.
Pour éviter le pire, les autorités doivent mettre les moyens, pour ne serait-ce que réparer le pont en question. Il faut aussi dire que cette situation a de sérieuses répercutions sur les activités économiques, surtout la flambée des prix qui perdure dans les marchés de la ville et ses environs, à cause de la dégradation de la route.
Il faut rappeler que les hautes autorités du pays ont, à maintes fois, évoqué la construction de la seule voie qui relie la province du Salamat aux villes du Tchad. Si rien ne sera fait dans les mois qui suivent, la population du Salamat vivra la prochaine saison des pluies, de la manière la plus désastreuse.