Dans de nombreux foyers, les femmes sont obligées d'endosser la responsabilité financière, normalement dévolue aux hommes.
En raison du manque d'emploi, ces femmes, à travers leurs petites activités génératrices de revenus, soutiennent financièrement leurs familles, y compris leurs conjoints. Pourtant, leurs efforts sont parfois méconnus, ou non reconnus par les hommes.
Ces femmes, souvent issues de quartiers périphériques et considérées comme démunies, pratiquent des activités modestes mais vitales pour la survie de leur foyer. En plus de s'occuper de la maison, elles assurent également la scolarisation des enfants, paient les loyers, veillent à la santé, habillent leurs enfants, et s'occupent de divers autres besoins familiaux.
Connues pour leur dévouement et leur capacité à surmonter les épreuves de la vie, ces femmes parcourent les rues avec diverses marchandises, cherchant des clients pour subvenir aux besoins quotidiens. L'inactivité de certains hommes, souvent due au chômage, a conduit ces derniers à renoncer à leur rôle de chef de famille. Passant du temps dans les débits de boissons, jouant aux cartes ou discutant de football, ils laissent à leurs épouses la responsabilité de faire vivre la famille.
Nekarmbay, mère de trois enfants, témoigne : « Mon mari est maçon, mais faute de chantiers, il est à la maison depuis trois mois. Grâce à mon petit commerce, nous parvenons à manger. Je vends des arachides et des condiments. C’est difficile, mais nous tenons le coup. » Nadège, mère de deux enfants, explique : « Je vends des détergents et des savons, c'est avec cela que nous vivons. Mon mari est enseignant vacataire, et en attendant la reprise des cours, il n'a pas de travail. Parfois, il fait le taxi clandestin, mais il n’a pas toujours de clients. » Cependant, certaines situations sont plus critiques.
Menodji déplore le comportement de son mari qui passe tout son temps dans les bars, comptant sur la générosité des autres pour subsister. Lorsqu'il rentre à la maison, il ne fait que dire des sottises, méprisant les efforts qu’elle déploie pour nourrir la famille. Depuis près d'un an, il a renoncé à toute forme de travail, laissant à sa femme la totalité des responsabilités. Elle affirme rester dans ce mariage uniquement pour leurs quatre enfants, sinon elle aurait préféré quitter le foyer.
Face à cette situation, les hommes doivent prendre leurs responsabilités. Bien que les temps soient difficiles, il est essentiel de toujours faire un effort pour subvenir aux besoins de sa famille. Laisser cette charge aux femmes est une démission inacceptable de leurs devoirs.
En raison du manque d'emploi, ces femmes, à travers leurs petites activités génératrices de revenus, soutiennent financièrement leurs familles, y compris leurs conjoints. Pourtant, leurs efforts sont parfois méconnus, ou non reconnus par les hommes.
Ces femmes, souvent issues de quartiers périphériques et considérées comme démunies, pratiquent des activités modestes mais vitales pour la survie de leur foyer. En plus de s'occuper de la maison, elles assurent également la scolarisation des enfants, paient les loyers, veillent à la santé, habillent leurs enfants, et s'occupent de divers autres besoins familiaux.
Connues pour leur dévouement et leur capacité à surmonter les épreuves de la vie, ces femmes parcourent les rues avec diverses marchandises, cherchant des clients pour subvenir aux besoins quotidiens. L'inactivité de certains hommes, souvent due au chômage, a conduit ces derniers à renoncer à leur rôle de chef de famille. Passant du temps dans les débits de boissons, jouant aux cartes ou discutant de football, ils laissent à leurs épouses la responsabilité de faire vivre la famille.
Nekarmbay, mère de trois enfants, témoigne : « Mon mari est maçon, mais faute de chantiers, il est à la maison depuis trois mois. Grâce à mon petit commerce, nous parvenons à manger. Je vends des arachides et des condiments. C’est difficile, mais nous tenons le coup. » Nadège, mère de deux enfants, explique : « Je vends des détergents et des savons, c'est avec cela que nous vivons. Mon mari est enseignant vacataire, et en attendant la reprise des cours, il n'a pas de travail. Parfois, il fait le taxi clandestin, mais il n’a pas toujours de clients. » Cependant, certaines situations sont plus critiques.
Menodji déplore le comportement de son mari qui passe tout son temps dans les bars, comptant sur la générosité des autres pour subsister. Lorsqu'il rentre à la maison, il ne fait que dire des sottises, méprisant les efforts qu’elle déploie pour nourrir la famille. Depuis près d'un an, il a renoncé à toute forme de travail, laissant à sa femme la totalité des responsabilités. Elle affirme rester dans ce mariage uniquement pour leurs quatre enfants, sinon elle aurait préféré quitter le foyer.
Face à cette situation, les hommes doivent prendre leurs responsabilités. Bien que les temps soient difficiles, il est essentiel de toujours faire un effort pour subvenir aux besoins de sa famille. Laisser cette charge aux femmes est une démission inacceptable de leurs devoirs.