Tchad : le feu tricolore s'installe à Abéché mais cause des accidents. © Alwihda Info
Le panneau (tricolore) de signalisation routière est méconnu par certains usagers de la route dans la capitale du grand nord du Tchad. Installé il y a quelques semaines par la mairie d'Abéché dans les grands axes de la ville, afin de diminuer les accidents de circulation et soulager la police routière, le tricolore provoque des accidents chaque jour.
Certains usagers routiers ne savent pas à quel moment il faut traverser lorsque l'une des trois couleurs s'affiche. N'a-t-on pas coutume de dire : "vaut mieux attendre une minute que de perdre sa vie en une minute" ? Il s'avère que certains policiers également ne maitrisent pas le fonctionnement du feu tricolore ; par exemple lorsqu'il est au rouge et qu'il faut bloquer un axe, en se dirigeant d'un point A vers un point B.
Certains usagers se sont vus pourchassés par certains policiers qui ne connaissent pas l'utilisation du feu. Ces derniers assurent à tort que l'usager a violé les règles de circulation.
De plus, l'incivisme de certains citoyens est déplorable ; en pleine circulation, certains communiquent sans gène au téléphone, ce qui cause assez souvent des accidents. Pire, des rakchamans augmentent le volume de leur musique, à se croire dans une discothèque, empêchant d'entendre les Klaxons des autres usagers.
Des conducteurs se croient tout permis lorsque d'autres s'arrêtent pour respecter le panneau de signalisation. Ces compatriotes foulent au pied les mesures prises par les autorités en matière de circulation routière. Ceux qui se croient seuls au volant de leur voiture, moto ou à pied, risquent de se retrouver un jour au pavillon des urgences ou à la morgue, alors que le Tchad compte sur eux.
Les services concernés devraient normaliser la circulation pour éviter le pire. Vaut mieux prévenir que guérir.
Il serait judicieux que la population et les usagers de la route prennent conscience de l'utilisation du feu rouge pour diminuer, sinon éviter les accidents de circulation. "La route ne tue pas mais c'est nous qui tuons", comme le dit un musicien.
Les autorités locales et les services concernés sont appelés à faire leur travail comme il se doit. Laisser un feu tricolore fonctionner seul, sans la présence d'un agent pour régulariser la circulation, n'est pas la solution. Les policiers doivent veiller, surveiller et arrêter ceux qui violent le feu rouge.
La population doit également être sensibilisée à travers les ondes des radios locales, sur le principe du feu de signalisation ainsi que son utilisation afin d'éviter des accidents.
Certains usagers routiers ne savent pas à quel moment il faut traverser lorsque l'une des trois couleurs s'affiche. N'a-t-on pas coutume de dire : "vaut mieux attendre une minute que de perdre sa vie en une minute" ? Il s'avère que certains policiers également ne maitrisent pas le fonctionnement du feu tricolore ; par exemple lorsqu'il est au rouge et qu'il faut bloquer un axe, en se dirigeant d'un point A vers un point B.
Certains usagers se sont vus pourchassés par certains policiers qui ne connaissent pas l'utilisation du feu. Ces derniers assurent à tort que l'usager a violé les règles de circulation.
De plus, l'incivisme de certains citoyens est déplorable ; en pleine circulation, certains communiquent sans gène au téléphone, ce qui cause assez souvent des accidents. Pire, des rakchamans augmentent le volume de leur musique, à se croire dans une discothèque, empêchant d'entendre les Klaxons des autres usagers.
Des conducteurs se croient tout permis lorsque d'autres s'arrêtent pour respecter le panneau de signalisation. Ces compatriotes foulent au pied les mesures prises par les autorités en matière de circulation routière. Ceux qui se croient seuls au volant de leur voiture, moto ou à pied, risquent de se retrouver un jour au pavillon des urgences ou à la morgue, alors que le Tchad compte sur eux.
Les services concernés devraient normaliser la circulation pour éviter le pire. Vaut mieux prévenir que guérir.
Il serait judicieux que la population et les usagers de la route prennent conscience de l'utilisation du feu rouge pour diminuer, sinon éviter les accidents de circulation. "La route ne tue pas mais c'est nous qui tuons", comme le dit un musicien.
Les autorités locales et les services concernés sont appelés à faire leur travail comme il se doit. Laisser un feu tricolore fonctionner seul, sans la présence d'un agent pour régulariser la circulation, n'est pas la solution. Les policiers doivent veiller, surveiller et arrêter ceux qui violent le feu rouge.
La population doit également être sensibilisée à travers les ondes des radios locales, sur le principe du feu de signalisation ainsi que son utilisation afin d'éviter des accidents.
Tchad : le feu tricolore s'installe à Abéché mais cause des accidents. © Alwihda Info