Autrefois, il n’y avait pas de frontière entre la rigueur et la liberté ; l’autorité parentale et le contrôle des enseignants constituaient le fondement de l’éducation. Les élèves étaient ainsi éduqués dans un environnement exigeant et discipliné.
Aujourd’hui, les enfants sont attirés par la distraction et jouissent d’une liberté quasi totale, marquée notamment par l’absence de l’autorité éducative. Surnommés les « enfants d’aujourd’hui », cette appellation témoigne du changement d’un cadre éducatif autrefois rigoureux, où des règles strictes favorisaient l’apprentissage, vers une autorité positive, perçue comme une alternative.
Malheureusement, cette approche a plongé beaucoup de jeunes dans la facilité, que ce soit à la maison ou à l’école. Ils préfèrent s’adonner à des activités futiles comme les séries télévisées, les jeux vidéo et les réseaux sociaux, pour ne citer que celles-là. Face à cette liberté incontrôlée, de nombreux enfants glissent doucement vers l’échec scolaire.
Le constat est clair : la chute des résultats académiques est visible, et ces enfants peinent à s’intégrer dans un monde compétitif et discipliné. Le manque d’un cadre familial solide et d’une éducation contrôlée est souvent à l’origine de ce laisser-aller. Il est donc fortement conseillé aux parents et aux enseignants de fixer des limites claires, afin de développer chez l’enfant l’autodiscipline, le sens des responsabilités, les compétences sociales et le respect, dans un cadre à la fois ferme et bienveillant.
Selon Nicolas Georgieff, professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à l’Université de Lyon 1 (France), l’autorité parentale et éducative est essentielle : « Si vous ne fixez aucune limite à un enfant, si vous ne l’éduquez pas, si vous ne lui expliquez pas que certaines choses ne sont pas permises, l’enfant devient un petit tyran.
De lui-même, il n’intègre aucune limite et, de fait, il veut tout, tout le temps. Il ne se développe pas, il n’a plus aucune liberté. Trop de liberté tue la liberté, la liberté ne naît que dans la contrainte », enseigne-t-il. Même si le laxisme résulte de plusieurs facteurs, l’une des principales causes reste le manque d’éducation familiale. En milieu urbain notamment, de nombreux parents, absorbés par leur travail, n’ont pas suffisamment de temps pour leurs enfants.
Abandonnés à eux-mêmes, et sans règles nécessaires à leur réussite scolaire, notamment en ce qui concerne le temps consacré à la distraction, à la lecture ou aux devoirs, ces enfants grandissent sans orientation disciplinaire. Combien de parents prennent encore le temps de vérifier les cahiers de leurs enfants ?
Pour remédier à ce phénomène, parents et enseignants doivent assumer leurs responsabilités en instaurant une discipline favorable à l’apprentissage. Il s’agit de réapprendre à exercer leur autorité, non pas en violant la liberté de l’enfant, mais en fixant des exigences pour lui faire comprendre que les limites imposées sont bénéfiques pour son avenir.
Comme le disait le dicton populaire : « Une femme qui n’a jamais reçu un coup de spatule ne fera jamais de bonne cuisine. » Il est peut-être temps de faire un retour en arrière, vers une époque où la rigueur et la discipline étaient au service de l’éducation, et où le cadre éducatif incluait non seulement la famille, mais aussi les voisins et bien d’autres membres de la communauté.
Aujourd’hui, les enfants sont attirés par la distraction et jouissent d’une liberté quasi totale, marquée notamment par l’absence de l’autorité éducative. Surnommés les « enfants d’aujourd’hui », cette appellation témoigne du changement d’un cadre éducatif autrefois rigoureux, où des règles strictes favorisaient l’apprentissage, vers une autorité positive, perçue comme une alternative.
Malheureusement, cette approche a plongé beaucoup de jeunes dans la facilité, que ce soit à la maison ou à l’école. Ils préfèrent s’adonner à des activités futiles comme les séries télévisées, les jeux vidéo et les réseaux sociaux, pour ne citer que celles-là. Face à cette liberté incontrôlée, de nombreux enfants glissent doucement vers l’échec scolaire.
Le constat est clair : la chute des résultats académiques est visible, et ces enfants peinent à s’intégrer dans un monde compétitif et discipliné. Le manque d’un cadre familial solide et d’une éducation contrôlée est souvent à l’origine de ce laisser-aller. Il est donc fortement conseillé aux parents et aux enseignants de fixer des limites claires, afin de développer chez l’enfant l’autodiscipline, le sens des responsabilités, les compétences sociales et le respect, dans un cadre à la fois ferme et bienveillant.
Selon Nicolas Georgieff, professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à l’Université de Lyon 1 (France), l’autorité parentale et éducative est essentielle : « Si vous ne fixez aucune limite à un enfant, si vous ne l’éduquez pas, si vous ne lui expliquez pas que certaines choses ne sont pas permises, l’enfant devient un petit tyran.
De lui-même, il n’intègre aucune limite et, de fait, il veut tout, tout le temps. Il ne se développe pas, il n’a plus aucune liberté. Trop de liberté tue la liberté, la liberté ne naît que dans la contrainte », enseigne-t-il. Même si le laxisme résulte de plusieurs facteurs, l’une des principales causes reste le manque d’éducation familiale. En milieu urbain notamment, de nombreux parents, absorbés par leur travail, n’ont pas suffisamment de temps pour leurs enfants.
Abandonnés à eux-mêmes, et sans règles nécessaires à leur réussite scolaire, notamment en ce qui concerne le temps consacré à la distraction, à la lecture ou aux devoirs, ces enfants grandissent sans orientation disciplinaire. Combien de parents prennent encore le temps de vérifier les cahiers de leurs enfants ?
Pour remédier à ce phénomène, parents et enseignants doivent assumer leurs responsabilités en instaurant une discipline favorable à l’apprentissage. Il s’agit de réapprendre à exercer leur autorité, non pas en violant la liberté de l’enfant, mais en fixant des exigences pour lui faire comprendre que les limites imposées sont bénéfiques pour son avenir.
Comme le disait le dicton populaire : « Une femme qui n’a jamais reçu un coup de spatule ne fera jamais de bonne cuisine. » Il est peut-être temps de faire un retour en arrière, vers une époque où la rigueur et la discipline étaient au service de l’éducation, et où le cadre éducatif incluait non seulement la famille, mais aussi les voisins et bien d’autres membres de la communauté.