Tchad : le premier ministre soudanais attendu à N'Djamena lundi prochain. © DR
Le Premier ministre soudanais Abdullah Hamdouk est attendu à N'Djamena, le 25 novembre prochain, à la tête d'une délégation. Il est invité par le président Idriss Deby pour mener des négociations de paix communes.
Le Soudan et le Soudan du Sud vont reprendre comme prévu le 21 novembre prochain -dans trois jours- leurs discussions sur les questions liées au conflit soudanais.
Lors de son déplacement au Tchad, le chef du gouvernement soudanais échangera avec les autorités tchadiennes sur les options pour consolider la paix au Soudan, dans le cadre des négociations organisées avec Juba, la capitale du Soudan du Sud.
Le 12 septembre dernier, un accord dénommé "la déclaration de Juba" a été signé entre le gouvernement soudanais et une alliance de six factions armées. Un accord similaire a été signé avec le Mouvement populaire de libération du Soudan d’Abdulaziz al-Helu.
Les accords prévoyaient des mesures de confiance préliminaires en vue des négociations, notamment la libération des prisonniers de guerre, l'annulation de certaines peines ou encore l'ouverture de couloirs humanitaires pour aider les populations touchées par la guerre.
Il stipulait également le report de la formation du Conseil législatif et de la nomination des gouverneurs des États jusqu'à la conclusion d'un accord de paix dans les zones de guerre.
Juba a organisé des réunions de consultation internes entre les composantes des mouvements armés, aboutissant à l'unification de toutes les factions dans l'alliance du "Front révolutionnaire".
Le Soudan et le Soudan du Sud vont reprendre comme prévu le 21 novembre prochain -dans trois jours- leurs discussions sur les questions liées au conflit soudanais.
Lors de son déplacement au Tchad, le chef du gouvernement soudanais échangera avec les autorités tchadiennes sur les options pour consolider la paix au Soudan, dans le cadre des négociations organisées avec Juba, la capitale du Soudan du Sud.
Le 12 septembre dernier, un accord dénommé "la déclaration de Juba" a été signé entre le gouvernement soudanais et une alliance de six factions armées. Un accord similaire a été signé avec le Mouvement populaire de libération du Soudan d’Abdulaziz al-Helu.
Les accords prévoyaient des mesures de confiance préliminaires en vue des négociations, notamment la libération des prisonniers de guerre, l'annulation de certaines peines ou encore l'ouverture de couloirs humanitaires pour aider les populations touchées par la guerre.
Il stipulait également le report de la formation du Conseil législatif et de la nomination des gouverneurs des États jusqu'à la conclusion d'un accord de paix dans les zones de guerre.
Juba a organisé des réunions de consultation internes entre les composantes des mouvements armés, aboutissant à l'unification de toutes les factions dans l'alliance du "Front révolutionnaire".