Le président de la Chambre de commerce, d'industrie, d'agriculture, des mines et de l'artisanat (CCIAMA), Amir Adoudou Artine multiplie ces derniers jours les descentes sur le terrain pour superviser la mise en oeuvre et le suivi de l'opération "Juste prix" dans la capitale.
Il s'est rendu ce mardi 7 mai au grand marché central de N'Djamena où il a rencontré des commerçants et vendeurs. L'objectif de la descente est de vérifier le respect des prix fixés dans le cadre du programme Juste prix et de vulgariser le concept.
La plupart des commerçants se disent prêts à participer à l'initiative de la CCIAMA pour faire baisser le coût des denrées alimentaires. Certains d'entre eux déplorent toutefois la spéculation entretenue par d'autres commerçants véreux et sollicitent la multiplication des opérations de contrôle, particulièrement en période de forte consommation ou de fêtes.
"On a pris trois groupes de marchandises, on a fait tous les marchés de N'Djamena. Concernant les céréales et les vivres secs, il s'avère que tous les prix sont à la baisse par rapport à la tendance qu'on avait publié le 30 avril", a expliqué Amir Adoudou Artine qui préside la commission de contrôle des prix des denrées alimentaires.
Il s'est rendu ce mardi 7 mai au grand marché central de N'Djamena où il a rencontré des commerçants et vendeurs. L'objectif de la descente est de vérifier le respect des prix fixés dans le cadre du programme Juste prix et de vulgariser le concept.
La plupart des commerçants se disent prêts à participer à l'initiative de la CCIAMA pour faire baisser le coût des denrées alimentaires. Certains d'entre eux déplorent toutefois la spéculation entretenue par d'autres commerçants véreux et sollicitent la multiplication des opérations de contrôle, particulièrement en période de forte consommation ou de fêtes.
"On a pris trois groupes de marchandises, on a fait tous les marchés de N'Djamena. Concernant les céréales et les vivres secs, il s'avère que tous les prix sont à la baisse par rapport à la tendance qu'on avait publié le 30 avril", a expliqué Amir Adoudou Artine qui préside la commission de contrôle des prix des denrées alimentaires.
Une liste des principaux aliments validée
Une liste des principales denrées aliementaires de première nécessité a été établie et validée par la CCIAMA et le collectif de commerçants équitables. La liste comporte plusieurs produits dont le riz, le sphaghetti, le macaroni, la farine de blé, le sucre, l'huile, la tomate concentrée, le maïs, le mil, le sorgho, le haricot, l'huile andouria, les oignons, l'ail, la viande et le poisson.
"On a le riz local, sur notre liste on était à 45.000 FCFA. Présentement, nous sommes dans le marché et c'est à 37.500 FCFA le sac. Le produit qui reste stable c'est uniquement le maïs qu'on a, à 19.000 FCFA sur notre liste, et il reste à 19.000 FCFA. Par contre, tous les autres produits, le mil pénicillaire, on l'avait annoncé à 17.000 FCFA, aujourd'hui cil est à 16.000 FCFA. On a le mil sorgho qu'on avait annoncé à 12.000 FCFA, aujourd'hui on l'a trouvé à 11.000 FCFA sur le marché. On a le haricot qu'on avait annoncé à 21.000 FCFA, nous le retrouvons à 20.000 FCFA sur le marché", d'après les explications du président de la CCIAMA.
S'agissant du gaz et du pain, "bien que leurs prix soient stables, ils nécessitent un suivi particulièrement important du fait de leurs mesures et qualité qui ne fait pas toujours l'unanimité des consommateurs finaux", précise la CCIAMA.
La commission permanente va multiplier son opération de plaidoyer et de contrôle pendant une phase test de 45 jours afin de pérenniser le concept inédit.
Une liste des principales denrées aliementaires de première nécessité a été établie et validée par la CCIAMA et le collectif de commerçants équitables. La liste comporte plusieurs produits dont le riz, le sphaghetti, le macaroni, la farine de blé, le sucre, l'huile, la tomate concentrée, le maïs, le mil, le sorgho, le haricot, l'huile andouria, les oignons, l'ail, la viande et le poisson.
"On a le riz local, sur notre liste on était à 45.000 FCFA. Présentement, nous sommes dans le marché et c'est à 37.500 FCFA le sac. Le produit qui reste stable c'est uniquement le maïs qu'on a, à 19.000 FCFA sur notre liste, et il reste à 19.000 FCFA. Par contre, tous les autres produits, le mil pénicillaire, on l'avait annoncé à 17.000 FCFA, aujourd'hui cil est à 16.000 FCFA. On a le mil sorgho qu'on avait annoncé à 12.000 FCFA, aujourd'hui on l'a trouvé à 11.000 FCFA sur le marché. On a le haricot qu'on avait annoncé à 21.000 FCFA, nous le retrouvons à 20.000 FCFA sur le marché", d'après les explications du président de la CCIAMA.
S'agissant du gaz et du pain, "bien que leurs prix soient stables, ils nécessitent un suivi particulièrement important du fait de leurs mesures et qualité qui ne fait pas toujours l'unanimité des consommateurs finaux", précise la CCIAMA.
La commission permanente va multiplier son opération de plaidoyer et de contrôle pendant une phase test de 45 jours afin de pérenniser le concept inédit.