Le président de la République Idriss Déby a rencontré ce mardi après-midi à la Présidence les membres de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et du Cadre national de dialogue politique (CNDP), afin de s'entretenir sur le processus électoral.
Le chef de l'Etat a rappelé qu'une "inscription budgétaire de l’ordre de 30 milliards de francs CFA est assurée dans la Loi de Finances de 2019, pour attester de la sincérité de cet engagement politique, en dépit de la conjoncture économique et financière difficile que traverse notre pays."
Il s'est félicité de la composition paritaire du CNDP et de la CENI, une particularité "qu'on trouve rarement sur notre continent". D'après lui, "c’est assurément le gage de notre volonté commune et de notre souci partagé de créer les conditions favorables à l’organisation des élections libres, démocratiques et transparentes et, plus généralement, de l’ancrage de la démocratie dans notre pays".
Des avances de 900 millions Francs CFA et de 436 millions Francs CFA ont été débloquées à la CENI et au Bureau permanent des élections (BPE) pour ne pas retarder leur fonctionnement. De plus, une enveloppe d’un montant de 800 millions Francs CFA a été octroyée au CNDP pour son fonctionnement.
Des démarches ont été entreprises auprès des partenaires pour mobiliser le gap potentiel dans le budget. D'après le chef de l'Etat, "même si pour l’instant, nous ne sommes qu’au stade des annonces d’intention de contributions, le Gouvernement ne désespère pas de voir ce gap comblé à l’effet de nous accompagner à créer dans notre pays, les conditions qui s’accordent avec les principes universels d’organisation du suffrage universel selon les règles démocratiques.".
Le chef de l'Etat a rappelé qu'une "inscription budgétaire de l’ordre de 30 milliards de francs CFA est assurée dans la Loi de Finances de 2019, pour attester de la sincérité de cet engagement politique, en dépit de la conjoncture économique et financière difficile que traverse notre pays."
Il s'est félicité de la composition paritaire du CNDP et de la CENI, une particularité "qu'on trouve rarement sur notre continent". D'après lui, "c’est assurément le gage de notre volonté commune et de notre souci partagé de créer les conditions favorables à l’organisation des élections libres, démocratiques et transparentes et, plus généralement, de l’ancrage de la démocratie dans notre pays".
Des avances de 900 millions Francs CFA et de 436 millions Francs CFA ont été débloquées à la CENI et au Bureau permanent des élections (BPE) pour ne pas retarder leur fonctionnement. De plus, une enveloppe d’un montant de 800 millions Francs CFA a été octroyée au CNDP pour son fonctionnement.
Des démarches ont été entreprises auprès des partenaires pour mobiliser le gap potentiel dans le budget. D'après le chef de l'Etat, "même si pour l’instant, nous ne sommes qu’au stade des annonces d’intention de contributions, le Gouvernement ne désespère pas de voir ce gap comblé à l’effet de nous accompagner à créer dans notre pays, les conditions qui s’accordent avec les principes universels d’organisation du suffrage universel selon les règles démocratiques.".