Placé sous le haut patronage du ministère de l’Education nationale et de la Promotion civique, le Centre d’études pour le développement et la prévention de l’extrémisme (CEDPE), en partenariat avec le Programme des nations Unies pour le développement (PNUD), a organisé lundi 14 octobre 2019, la première édition de la Journée des Lycéens.
L’évènement, axé sur le thème de la lutte contre l’extrémisme violent en milieu scolaire, a eu lieu à N’Djari, dans le 8ème arrondissement de N’Djamena. Plusieurs diplomates et personnalités ont pris part à la cérémonie d’ouverture.
L’objectif de la journée est de créer un cadre d’échange et de brassage entre les élèves.
A travers cette première édition, il est question de faire participer les élèves aux activités qui leur permettront d’avoir une large information sur les enjeux de l’extrémisme violent et de la radicalisation.
Dans son mot de bienvenue, le président du comité d’organisation, Mahamat Amine Moussa a déclaré que « cette journée est susceptible d’ouvrir des perspectives d’avenir. C’est une journée d’examen de conscience pour un havre de paix, car le problème de l’extrémisme et de la violence en milieu scolaire nous implique tous ».
La représentante des lycéens, Achta Abakar Hachim, a estimé que « beaucoup de solutions sont envisageables pour lutter contre l’extrémisme en milieu scolaire, à savoir la mise en place des comités d’élèves dans les lycées afin de prévenir et de gérer les conflits, et la création d’une plateforme inter-établissement de brassage, de gestion et de résolution des conflits. »
Elle a également émis le souhait de favoriser et d’autonomiser les jeunes en les rendant acteurs de leur apprentissage, et a appelé à l’amélioration des aspects relationnels entre les élèves et les enseignants.
L’évènement, axé sur le thème de la lutte contre l’extrémisme violent en milieu scolaire, a eu lieu à N’Djari, dans le 8ème arrondissement de N’Djamena. Plusieurs diplomates et personnalités ont pris part à la cérémonie d’ouverture.
L’objectif de la journée est de créer un cadre d’échange et de brassage entre les élèves.
A travers cette première édition, il est question de faire participer les élèves aux activités qui leur permettront d’avoir une large information sur les enjeux de l’extrémisme violent et de la radicalisation.
Dans son mot de bienvenue, le président du comité d’organisation, Mahamat Amine Moussa a déclaré que « cette journée est susceptible d’ouvrir des perspectives d’avenir. C’est une journée d’examen de conscience pour un havre de paix, car le problème de l’extrémisme et de la violence en milieu scolaire nous implique tous ».
La représentante des lycéens, Achta Abakar Hachim, a estimé que « beaucoup de solutions sont envisageables pour lutter contre l’extrémisme en milieu scolaire, à savoir la mise en place des comités d’élèves dans les lycées afin de prévenir et de gérer les conflits, et la création d’une plateforme inter-établissement de brassage, de gestion et de résolution des conflits. »
Elle a également émis le souhait de favoriser et d’autonomiser les jeunes en les rendant acteurs de leur apprentissage, et a appelé à l’amélioration des aspects relationnels entre les élèves et les enseignants.
Dans son intervention, le président du CEDPE, Dr. Ahmat Yacoub Dabio, a précisé que “cette journée est une grande opportunité pour les jeunes élèves de s’exprimer et de se conscientiser afin de lutter contre l'extrémisme violent en milieu scolaire. Le brassage et la concordance entre les élèves sont les moyens les plus fiables de lutte contre l'extrémisme dans notre société”.
Il a adressé ses remerciements à l’OIM, au PNUD et au ministère de l’Éducation nationale qui ont soutenu la mise en place de cette journée.
Le directeur de la coopération du ministère de l'Éducation nationale et de la Promotion civique, Mahamat Mahaboub Abakar, représentant le ministre, a indiqué que “cette journée des lycéens permettra aux jeunes élèves de pouvoir échanger sur le concept de la radicalisation dans le cadre de l'éducation basée sur le brassage et la prévention en milieu scolaire”.
“Cette journée permettra aux jeunes de comprendre le bien-fondé du vivre ensemble et aussi de se créer une harmonie au sein du système éducatif national. Le ministère de l'Éducation s'engage à collaborer et à soutenir toutes les actions qui combattent la radicalisation et l'extrémisme, une politique cruciale du chef de l'État Idriss Déby Itno”, a-t-il souligné, avant d’ouvrir officiellement la première édition de la Journée des Lycéens.
Il a adressé ses remerciements à l’OIM, au PNUD et au ministère de l’Éducation nationale qui ont soutenu la mise en place de cette journée.
Le directeur de la coopération du ministère de l'Éducation nationale et de la Promotion civique, Mahamat Mahaboub Abakar, représentant le ministre, a indiqué que “cette journée des lycéens permettra aux jeunes élèves de pouvoir échanger sur le concept de la radicalisation dans le cadre de l'éducation basée sur le brassage et la prévention en milieu scolaire”.
“Cette journée permettra aux jeunes de comprendre le bien-fondé du vivre ensemble et aussi de se créer une harmonie au sein du système éducatif national. Le ministère de l'Éducation s'engage à collaborer et à soutenir toutes les actions qui combattent la radicalisation et l'extrémisme, une politique cruciale du chef de l'État Idriss Déby Itno”, a-t-il souligné, avant d’ouvrir officiellement la première édition de la Journée des Lycéens.