Le directeur des organisations des services de santé au ministère de la Santé publique, Dr. Mahamat Moussa Brahimi, a ordonné mardi la fermeture du cabinet de soins Al Rachida, situé à N'Djari, dans le 8ème arrondissement de N'Djamena.
A la tête d'une équipe de contrôle sanitaire, Dr. Mahamat Moussa Brahimi a fait une descente au cabinet logé dans une concession, dans le cadre de la supervision de routine des structures sanitaires.
Dès son arrivée, la délégation a procédé automatiquement à l'inspection des lieux et à la vérification du matériel de travail. Elle a constaté que la cours est remplie des nombreux patients qui attendent leur tour pour une consultation et des soins.
Selon les autorités sanitaires, la responsable de ce cabinet ne détient pas d'autorisation de fonctionnement du ministère de la Santé publique. Le diplôme détenu par celle-ci porte le nom d'une autre personne.
Si les responsables de la structure sanitaire privée ont bel et bien déposé une demande d'autorisation, celle-ci n'a pas encore été validée.
"Ils ont préchargé des seringues dont on ne sait pas la nature du produit", a affirmé Dr. Mahamat Moussa Brahimi qui a ajouté que les installations ne répondent pas aux normes.
Un hangar est subdivisé en deux salles dont l'une sert à la consultation et une autre aux soins.
L'équipe du ministère de la Santé publique était accompagnée des autorités de la commune du 8ème arrondissement.
A la tête d'une équipe de contrôle sanitaire, Dr. Mahamat Moussa Brahimi a fait une descente au cabinet logé dans une concession, dans le cadre de la supervision de routine des structures sanitaires.
Dès son arrivée, la délégation a procédé automatiquement à l'inspection des lieux et à la vérification du matériel de travail. Elle a constaté que la cours est remplie des nombreux patients qui attendent leur tour pour une consultation et des soins.
Selon les autorités sanitaires, la responsable de ce cabinet ne détient pas d'autorisation de fonctionnement du ministère de la Santé publique. Le diplôme détenu par celle-ci porte le nom d'une autre personne.
Si les responsables de la structure sanitaire privée ont bel et bien déposé une demande d'autorisation, celle-ci n'a pas encore été validée.
"Ils ont préchargé des seringues dont on ne sait pas la nature du produit", a affirmé Dr. Mahamat Moussa Brahimi qui a ajouté que les installations ne répondent pas aux normes.
Un hangar est subdivisé en deux salles dont l'une sert à la consultation et une autre aux soins.
L'équipe du ministère de la Santé publique était accompagnée des autorités de la commune du 8ème arrondissement.