Tchad : "les conséquences socioéconomiques de la grève sont très dommageables", selon l'ADHET. © DR
Le secrétaire général de l’Alliance des défenseurs des droits Humains et de l’environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjede, a invité samedi les tchadiens à "s’armer du courage et d’abnégation pour vaincre toutes les formes de résistances, afin de porter notre pays au firmament des Nations qui prospèrent".
Selon l'ADHET, "face à l’urgence de la préservation du climat social dont le préavis de grève menace dangereusement et qui risque de saper les résultats des efforts durement consentis, il est de la responsabilité citoyenne et patriotique d’agir, chacun à sa façon, pour éviter toute sorte d’entraves à la relance économique qui suit son cours et qui mérite d’être entretenue."
"Les conséquences socioéconomiques de la grève sont très dommageables pour l’économie et la croissance susceptible de permettre l’amélioration des conditions du travail en général et du traitement salarial en particulier", estime l'ADHET.
Abba Daoud Nandjede appelle les travailleurs à "sortir l'option exclusive de grève" et à s’engager dans une "entente sociale stratégique" avec le gouvernement, "seule option efficace qui permettra le rétablissement des effets financiers des avancements, des indemnités ou l’AGS, et autres rétablissements des frais de transport."
L'ADHET appelle la plateforme syndicale revendicative à un "sursaut de conscience (...) en épousant la proposition idoine du chef de l’Etat". Elle dénonce "l’attitude malheureuse et irresponsable de certains groupes qui souhaitent vivement la grève", et invite les acteurs politiques à "ne pas verser dans l’incitation avec des déclarations tendant à influencer l’opinion syndicale pour les pousser à tout prix à la grève".
Selon l'ADHET, "face à l’urgence de la préservation du climat social dont le préavis de grève menace dangereusement et qui risque de saper les résultats des efforts durement consentis, il est de la responsabilité citoyenne et patriotique d’agir, chacun à sa façon, pour éviter toute sorte d’entraves à la relance économique qui suit son cours et qui mérite d’être entretenue."
"Les conséquences socioéconomiques de la grève sont très dommageables pour l’économie et la croissance susceptible de permettre l’amélioration des conditions du travail en général et du traitement salarial en particulier", estime l'ADHET.
Abba Daoud Nandjede appelle les travailleurs à "sortir l'option exclusive de grève" et à s’engager dans une "entente sociale stratégique" avec le gouvernement, "seule option efficace qui permettra le rétablissement des effets financiers des avancements, des indemnités ou l’AGS, et autres rétablissements des frais de transport."
L'ADHET appelle la plateforme syndicale revendicative à un "sursaut de conscience (...) en épousant la proposition idoine du chef de l’Etat". Elle dénonce "l’attitude malheureuse et irresponsable de certains groupes qui souhaitent vivement la grève", et invite les acteurs politiques à "ne pas verser dans l’incitation avec des déclarations tendant à influencer l’opinion syndicale pour les pousser à tout prix à la grève".