Un Forum des femmes commerçantes et entrepreneures s'est ouvert vendredi au Palais du 15 janvier à N'Djamena, axé sur le thème "femmes entrepreneures, enjeux, défis et perspectives".
Plusieurs membres du panel ont animé de riches débats, notamment Dr. Ngarlena Dogdigao, député Mme. Khadidja Hassaballah, Mme. Amalkher Djibrine, Michael Désiré Alladoum, ainsi que Ngassi Pedro et Mme. Amina Tidjani Yaya, au titre des rapporteurs.
D'après le Dr. Ngarlena, "il est très difficile de créer une entreprise commerciale pour les femmes au Tchad à cause des procédures, mais aussi de l'ingérence des hommes dans les affaires des femmes".
Il a indiqué que "pour créer une entreprise commerciale féminine au Tchad, il faut vraiment beaucoup de procédures à respecter, mais aussi des moyens financiers et la solidarité dans les affaires".
Pour sa part, la député Mme. Kadidja Hassaballah estime que "les problèmes qui gangrènent le commerce féminin au Tchad sont d'ordre politique à cause de l'instabilité, la pauvreté des femmes, et l'insécurité frontalière".
"Il est temps au gouvernement de baisser l'impôt, d'octroyer des crédits et d'envisager la baisse de la douane pour améliorer les défis dans la vie des femmes entrepreneurs et commerçantes", a-t-elle soulignée.
De son avis, Dr. Michael a relevé que "les défis de la femme entrepreneure sont le plus souvent financiers et basés sur le problème des crédits et de la comptabilité. Les femmes entrepreneures et commerçantes sont désorientées".
Prenant la parole, Mme. Amalkher Djibrine, a affirmé que "la formation et la sensibilisation des femmes en entrepreneuriat commercial joue un rôle important dans le milieu des affaires".
Le premier panel a pris fin avec des recommandations dans le cadre de l'amélioration des conditions vie des femmes entrepreneurs et commerçantes au Tchad.
Plusieurs membres du panel ont animé de riches débats, notamment Dr. Ngarlena Dogdigao, député Mme. Khadidja Hassaballah, Mme. Amalkher Djibrine, Michael Désiré Alladoum, ainsi que Ngassi Pedro et Mme. Amina Tidjani Yaya, au titre des rapporteurs.
D'après le Dr. Ngarlena, "il est très difficile de créer une entreprise commerciale pour les femmes au Tchad à cause des procédures, mais aussi de l'ingérence des hommes dans les affaires des femmes".
Il a indiqué que "pour créer une entreprise commerciale féminine au Tchad, il faut vraiment beaucoup de procédures à respecter, mais aussi des moyens financiers et la solidarité dans les affaires".
Pour sa part, la député Mme. Kadidja Hassaballah estime que "les problèmes qui gangrènent le commerce féminin au Tchad sont d'ordre politique à cause de l'instabilité, la pauvreté des femmes, et l'insécurité frontalière".
"Il est temps au gouvernement de baisser l'impôt, d'octroyer des crédits et d'envisager la baisse de la douane pour améliorer les défis dans la vie des femmes entrepreneurs et commerçantes", a-t-elle soulignée.
De son avis, Dr. Michael a relevé que "les défis de la femme entrepreneure sont le plus souvent financiers et basés sur le problème des crédits et de la comptabilité. Les femmes entrepreneures et commerçantes sont désorientées".
Prenant la parole, Mme. Amalkher Djibrine, a affirmé que "la formation et la sensibilisation des femmes en entrepreneuriat commercial joue un rôle important dans le milieu des affaires".
Le premier panel a pris fin avec des recommandations dans le cadre de l'amélioration des conditions vie des femmes entrepreneurs et commerçantes au Tchad.