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Un atelier de formation des responsables des forces de défense et de sécurité sur la convention contre la torture se tient depuis ce mardi matin à Bakara, localité situé à 15 km de N'Djamena.
Cet atelier concerne les directeurs généraux de la police et de la gendarmerie nationale, des commissaires, des officiers généraux et supérieures. Il vise à les inciter à éviter la tortues et d'autres peines cruelles ou dégradantes dans l'exercice de leurs fonctions.
Le Tchad est un pays signataire de plusieurs traités et conventions internationales relatives à la protection des droits de l'Homme et de la dignité de la personne humaine. Le ministère de la Justice chargé des droits humains, en partenariat avec le Haut commissariat des Nations Unies chargé des droits de l'Homme, a organisé cette formation à l'intention des responsables des forces de défense et de sécurité. souvant mises en cause dans des cas des tortures, afin d'informer et de conscientiser sur les conventions interdisant ces actes.
Le représentant du Haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'Homme au Tchad, Nyondoly Komy Emmanuel estime qu'en Afrique comme au Tchad, il y a un décalage entre les textes et leur application. "Nous avons appris plusieurs fois des cas de dénonciation de la pratique de la torture ça et là. Nous sommes tous conscients des conséquences le plus souvent irréparables des cas des tortures dont pleurent les victimes", a-t-il indiqué.
Selon le directeur général du ministère de la Justice, chargé des droits humains, Madji Tanguay Traogra, "cette formation est une occasion pour les forces de défense et de sécurité de soigner leur image".
Il a affirme ainsi que "malgré cette volonté politique et les efforts déployés, la pratique de la torture reste et demeure presque permanente dans nos sociétés. Au delà de son caractères théorique, le présent atelier doit être un cadre, sinon une occasion d'échanges constructifs et de partage d'expérience pouvant aider à rompre avec les vieilles habitudes afin de redorer et d'améliorer les comportements de nos forces de défense et de sécurité, souvent accusées à tort ou à raison d'être auteur, coauteur ou complice d'actes de torture".
À travers cet atelier, le Tchad étant un pays signataire du traité contre la torture, marque sa volonté de lutter contre la torture et les traitements cruels contre les droits humains.
Cet atelier concerne les directeurs généraux de la police et de la gendarmerie nationale, des commissaires, des officiers généraux et supérieures. Il vise à les inciter à éviter la tortues et d'autres peines cruelles ou dégradantes dans l'exercice de leurs fonctions.
Le Tchad est un pays signataire de plusieurs traités et conventions internationales relatives à la protection des droits de l'Homme et de la dignité de la personne humaine. Le ministère de la Justice chargé des droits humains, en partenariat avec le Haut commissariat des Nations Unies chargé des droits de l'Homme, a organisé cette formation à l'intention des responsables des forces de défense et de sécurité. souvant mises en cause dans des cas des tortures, afin d'informer et de conscientiser sur les conventions interdisant ces actes.
Le représentant du Haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'Homme au Tchad, Nyondoly Komy Emmanuel estime qu'en Afrique comme au Tchad, il y a un décalage entre les textes et leur application. "Nous avons appris plusieurs fois des cas de dénonciation de la pratique de la torture ça et là. Nous sommes tous conscients des conséquences le plus souvent irréparables des cas des tortures dont pleurent les victimes", a-t-il indiqué.
Selon le directeur général du ministère de la Justice, chargé des droits humains, Madji Tanguay Traogra, "cette formation est une occasion pour les forces de défense et de sécurité de soigner leur image".
Il a affirme ainsi que "malgré cette volonté politique et les efforts déployés, la pratique de la torture reste et demeure presque permanente dans nos sociétés. Au delà de son caractères théorique, le présent atelier doit être un cadre, sinon une occasion d'échanges constructifs et de partage d'expérience pouvant aider à rompre avec les vieilles habitudes afin de redorer et d'améliorer les comportements de nos forces de défense et de sécurité, souvent accusées à tort ou à raison d'être auteur, coauteur ou complice d'actes de torture".
À travers cet atelier, le Tchad étant un pays signataire du traité contre la torture, marque sa volonté de lutter contre la torture et les traitements cruels contre les droits humains.