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Tchad : les meurtriers d'une femme de 64 ans incarcérés à Amsinene
Tchad : les meurtriers de Mopi Célestine incarcérés à Amsinene. © Djimet Wiche/Alwihda Info
Les deux jeunes hommes arrêtés en fin de semaine dernière par la police dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat à N'Djamena de Mopi Célestine, ont été placés lundi sous mandat de dépôt, à l'issue de leur garde à vue, puis incarcérés à la maison d'arrêt d'Amsinene, a appris Alwihda Info de source judiciaire.
Le procureur de la République a directement fait un soit-transmis, peu après leur présentation au sein de la direction générale de la Police nationale.
Les deux présumés coupables, Ludovic et Ismael, ont ensuite été présentés devant un juge d'instruction qui a pris une ordonnance de placement sous mandat de dépôt.
Compte tenu de la complexité de l'affaire, les deux hommes devraient à nouveau être entendus dans le cadre de l'instruction qui n'a pas encore été clôturée, avant leur comparution devant la justice.
Un "assassinat sauvage"
Le porte-parole de la Police nationale, le commissaire Paul Manga, a qualifié lundi de "sauvage" l'assassinat le 13 février 2020 de Mme. Mopi Célestine, âgée de 64 ans, au quartier Abena, non loin d'une église.
Jeudi dernier, Mopi Célestine a été retrouvée inanimée dans la rue alors qu'elle se rendait très tôt le matin à une messe au. sein d'une Paroisse dans le 7ème arrondissement de la capitale.
L'affaire a suscité un émoi chez les tchadiens. De nombreuses personnes ont assisté ses obsèques pour lui rendre hommage.
Le procureur de la République a directement fait un soit-transmis, peu après leur présentation au sein de la direction générale de la Police nationale.
Les deux présumés coupables, Ludovic et Ismael, ont ensuite été présentés devant un juge d'instruction qui a pris une ordonnance de placement sous mandat de dépôt.
Compte tenu de la complexité de l'affaire, les deux hommes devraient à nouveau être entendus dans le cadre de l'instruction qui n'a pas encore été clôturée, avant leur comparution devant la justice.
Un "assassinat sauvage"
Le porte-parole de la Police nationale, le commissaire Paul Manga, a qualifié lundi de "sauvage" l'assassinat le 13 février 2020 de Mme. Mopi Célestine, âgée de 64 ans, au quartier Abena, non loin d'une église.
Jeudi dernier, Mopi Célestine a été retrouvée inanimée dans la rue alors qu'elle se rendait très tôt le matin à une messe au. sein d'une Paroisse dans le 7ème arrondissement de la capitale.
L'affaire a suscité un émoi chez les tchadiens. De nombreuses personnes ont assisté ses obsèques pour lui rendre hommage.
