Le vendredi 31 mars 2023, les membres du Syndicat des enseignants du Tchad (SET), issus du collectif des nouveaux intégrés à la fonction publique du ministère de l'Éducation Nationale, ont tenu un point de presse au siège national du Syndicat des Enseignants du Tchad pour dénoncer le mépris et le statu quo dans le traitement de leurs dossiers pour le mandatement et le paiement des arriérés de sept mois de salaire.
Le porte-parole du collectif, Neuzilka Emmanuel, a souligné que malgré les instructions des plus hautes autorités, aucun nouveau intégré ni professeur scientifique n'a perçu ce que le SET avait annoncé concernant la prise en charge partielle du point de vue salarial des nouveaux intégrés et l'apurement des arriérés de salaire des professeurs scientifiques.
Le collectif dénonce la mauvaise foi de certaines autorités dans le traitement de leurs dossiers et a décidé de reconduire sa grève pour deux semaines renouvelables allant du 1er au 15 avril 2023 sur toute l'étendue du territoire national. Il a également prévu une marche pacifique pour le samedi 08 avril 2023, allant de la bourse de travail jusqu'au ministère des Finances et du Budget, en passant par le canal Saint-Martin, afin d'exiger le mandatement et le paiement de plusieurs mois d'arriérés de salaire. Le collectif tient le gouvernement pour seul responsable de tout ce qui adviendra.
Les arriérés de salaire sont un droit fondamental des travailleurs et leur paiement est crucial pour leur bien-être. Les autorités compétentes doivent prendre en compte les revendications du collectif et trouver une solution rapide et juste pour répondre aux demandes des travailleurs en grève.
Le porte-parole du collectif, Neuzilka Emmanuel, a souligné que malgré les instructions des plus hautes autorités, aucun nouveau intégré ni professeur scientifique n'a perçu ce que le SET avait annoncé concernant la prise en charge partielle du point de vue salarial des nouveaux intégrés et l'apurement des arriérés de salaire des professeurs scientifiques.
Le collectif dénonce la mauvaise foi de certaines autorités dans le traitement de leurs dossiers et a décidé de reconduire sa grève pour deux semaines renouvelables allant du 1er au 15 avril 2023 sur toute l'étendue du territoire national. Il a également prévu une marche pacifique pour le samedi 08 avril 2023, allant de la bourse de travail jusqu'au ministère des Finances et du Budget, en passant par le canal Saint-Martin, afin d'exiger le mandatement et le paiement de plusieurs mois d'arriérés de salaire. Le collectif tient le gouvernement pour seul responsable de tout ce qui adviendra.
Les arriérés de salaire sont un droit fondamental des travailleurs et leur paiement est crucial pour leur bien-être. Les autorités compétentes doivent prendre en compte les revendications du collectif et trouver une solution rapide et juste pour répondre aux demandes des travailleurs en grève.