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La gouverneure de la province du Mandoul, Lydie Beassemda a appelé ce lundi les producteurs à renouer avec la culture de coton, lors d'un meeting de sensibilisation dans la commune de Bébopen.
Au cours du meeting qui a réuni la population de la localité, le sous-préfet de Bébopèn a formulé plusieurs doléances, dont le manque de personnel qualifié dans le domaine de la santé et de l'éducation. Pour sa part, le maire de la commune de Bébopén s'est félicité de l'initiative visant à sensibiliser les producteurs.
"Après la signature de la convention entre le Gouvernement et l'entreprise singapourienne Olam, et après approbation de l'Assemblée nationale, la question du non paiement du coton après son enlèvement est un mauvais souvenir", a déclaré Lydie Beassemda.
Elle a expliqué que "cette entreprise qui a montré son engagement à payer les arriérés des coton-culteurs ne doit pas les laisser indifférents car la nouvelle approche voudrait que le paiement se fasse en espèces dès le paiement du produit".
"Il est vrai que vous avez abandonné la culture du coton il y a belle lurette, mais il est temps de réfléchir, de voir comment faire pour relancer cette filière coton. Nous avons besoin de vous pour que vous puissiez également saisir ce projet afin de relancer l'économie tchadienne", a-t-elle souligné.
Les producteurs ont exprimé plusieurs préoccupations au cours d'échanges publics qui ont suivi le meeting de sensibilisation.
Au cours du meeting qui a réuni la population de la localité, le sous-préfet de Bébopèn a formulé plusieurs doléances, dont le manque de personnel qualifié dans le domaine de la santé et de l'éducation. Pour sa part, le maire de la commune de Bébopén s'est félicité de l'initiative visant à sensibiliser les producteurs.
"Après la signature de la convention entre le Gouvernement et l'entreprise singapourienne Olam, et après approbation de l'Assemblée nationale, la question du non paiement du coton après son enlèvement est un mauvais souvenir", a déclaré Lydie Beassemda.
Elle a expliqué que "cette entreprise qui a montré son engagement à payer les arriérés des coton-culteurs ne doit pas les laisser indifférents car la nouvelle approche voudrait que le paiement se fasse en espèces dès le paiement du produit".
"Il est vrai que vous avez abandonné la culture du coton il y a belle lurette, mais il est temps de réfléchir, de voir comment faire pour relancer cette filière coton. Nous avons besoin de vous pour que vous puissiez également saisir ce projet afin de relancer l'économie tchadienne", a-t-elle souligné.
Les producteurs ont exprimé plusieurs préoccupations au cours d'échanges publics qui ont suivi le meeting de sensibilisation.