N'Djamena - Le groupe de réflexion des cadres de la province du Guera a fait une déclaration ce 3 octobre au centre Al Mouna. Les ressortissants du Guera annoncent un bilan "de plus de 100 morts" dans les violences de Mangalmé. Le gouvernement n'a pas encore dévoilé de bilan officiel.
Le groupe de réflexion des cadres de la province du Guera exige la libération des autorités traditionnelles incarcérées et dénonce l'inaction des autorités. Il annonce la mise sur pied d'un comité d'auto-défense et estime que la sécurité n'est pas un privilège mais un droit pour les citoyens.
D'après le gouvernement, il s'agit d'un conflit intercommunautaire. "Un accord intervenu entre les nomades et les sédentaires a été violé (...) "Le 23 septembre dernier, un accord est intervenu entre les nomades et les sédentaires. Cette réconciliation a permis de mettre un certain nombre de choses au point jusqu'au 8 octobre. Cet accord a été violé. Les sédentaires, au lieu de saisir les forces de l'ordre, ont fait eux-mêmes la police", selon Abderaman Koulamallah, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement.
Le groupe de réflexion des cadres de la province du Guera exige la libération des autorités traditionnelles incarcérées et dénonce l'inaction des autorités. Il annonce la mise sur pied d'un comité d'auto-défense et estime que la sécurité n'est pas un privilège mais un droit pour les citoyens.
D'après le gouvernement, il s'agit d'un conflit intercommunautaire. "Un accord intervenu entre les nomades et les sédentaires a été violé (...) "Le 23 septembre dernier, un accord est intervenu entre les nomades et les sédentaires. Cette réconciliation a permis de mettre un certain nombre de choses au point jusqu'au 8 octobre. Cet accord a été violé. Les sédentaires, au lieu de saisir les forces de l'ordre, ont fait eux-mêmes la police", selon Abderaman Koulamallah, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement.