La grève déclenchée par les fonctionnaires du secteur public affiliés à la plate-forme syndicale revendicative est très suivie à N'Djamena, que ce soit dans l'administration, les établissements scolaires ou les hôpitaux.
A l'hôpital de l'Amitié Tchad-Chine, la grève n'a pas eu un grand impact pour les patients. Selon la directrice générale adjointe de l'établissement sanitaire, Mme. Khadidja Ismaél Guiré, "malgré que la grève est maintenue, un service minimum est nécessaire pour la population tchadienne. Ceci est un droit à la santé humaine".
Le chef adjoint du service des urgences, Jean Baptiste souligne que "le service des urgences fonctionne normalement, comme prévu et sans aucun souci majeur pour les patients et le personnel de santé. Certes la gréve existe mais pas au service des urgences."
Du côté de la pédiatrie, la chef de service, Mme. Aché Donama Kaché, indique qu'il n'y a aucun manquement ou difficultés de soins pour les patients. "Si la grève n'a pas touchée les patients dans cet hôpital, c'est parce que beaucoup de nos agents sont d'ordre contractuel. La continuité du service est notre priorité pour le bien être de la population tchadienne", assure-t-elle.
Une patiente, Mme. Houra Ibrahim Abakar, explique que le fonctionnement de l'hôpital est fluide en cette période de grève. Pour elle, "cela montre une solidarité entre les malades et les agents sanitaires de l'hôpital".
Le parent d'une autre patiente, Abakar Abdraman, précise être arrivé depuis deux jours sans avoir constaté un quelconque impact sur le fonctionnement de la structure sanitaire. "Si les médecins ne reçoivent pas leur argent, nous n'aurons pas un bon traitément. Il faut que l'Etat paye régulièrement pour une bonne santé de la population tchadienne", préconise-t-il.
A l'hôpital de l'Amitié Tchad-Chine, la grève n'a pas eu un grand impact pour les patients. Selon la directrice générale adjointe de l'établissement sanitaire, Mme. Khadidja Ismaél Guiré, "malgré que la grève est maintenue, un service minimum est nécessaire pour la population tchadienne. Ceci est un droit à la santé humaine".
Le chef adjoint du service des urgences, Jean Baptiste souligne que "le service des urgences fonctionne normalement, comme prévu et sans aucun souci majeur pour les patients et le personnel de santé. Certes la gréve existe mais pas au service des urgences."
Du côté de la pédiatrie, la chef de service, Mme. Aché Donama Kaché, indique qu'il n'y a aucun manquement ou difficultés de soins pour les patients. "Si la grève n'a pas touchée les patients dans cet hôpital, c'est parce que beaucoup de nos agents sont d'ordre contractuel. La continuité du service est notre priorité pour le bien être de la population tchadienne", assure-t-elle.
Une patiente, Mme. Houra Ibrahim Abakar, explique que le fonctionnement de l'hôpital est fluide en cette période de grève. Pour elle, "cela montre une solidarité entre les malades et les agents sanitaires de l'hôpital".
Le parent d'une autre patiente, Abakar Abdraman, précise être arrivé depuis deux jours sans avoir constaté un quelconque impact sur le fonctionnement de la structure sanitaire. "Si les médecins ne reçoivent pas leur argent, nous n'aurons pas un bon traitément. Il faut que l'Etat paye régulièrement pour une bonne santé de la population tchadienne", préconise-t-il.