Travaux de la 3ème assemblée générale de l’International francophone du dialogue social (IFDS) à N'Djamena. © Pr
Le ministre d’Etat, ministre secrétaire général de la Présidence de la République, Kalzeubé Payimi Deubet, a ouvert mercredi à N'Djamena, les travaux de la 3ème assemblée générale de l’International francophone du dialogue social (IFDS).
Les assises de trois jours visent à assainir l’environnement des relations professionnelles et la création des conditions favorables au développement économique et social.
Plusieurs thèmes seront débattus par les participants au cours des trois jours de travaux qui réunissent plusieurs pays francophones d’Afrique.
La présidente de l’IFDS, Mme. Innocence Ntap Ndiaye, a exprimé sa gratitude au chef de l'Etat pour avoir accepté et fait prendre toutes les dispositions idoines pour la bonne tenue de cette 3ème assemblée générale à N’Djaména.
"L'IFDS s'est fixé comme objectif de contribuer au renforcement de la pratique du dialogue social dans l'espace francophone. Pour ce faire, elle a retenu comme stratégie le renforcement de capacités des acteurs, la recherche-action, les échanges et le partage d'expérience Sud-Sud et Nord-Sud sur les pratiques en dialogue social", a indiqué Mme. Innocence Ntap Ndiaye.
Le ministre d'Etat Kalzeubé Payimi Deubet a souligné que la nécessité d’un dialogue tripartite permanent s’impose afin d’apporter des solutions idoines à tous les problèmes sociaux que traverse le continent.
"Le Tchad a perçu très tôt la nécessité de privilégier le dialogue sur tous les plans, notamment avec les partenaires sociaux, les organisations d'employeurs, les travailleurs, pour améliorer l'environnement du travail. Cette volonté manifeste des plus hautes autorités de la République s'inscrit dans le respecte des engagements", a affirmé Kalzeubet Pahimi Deubet.
Selon lui, "malgré les difficultés économiques et financières liées à la chute du prix du pétrole que traverse depuis quelques années le Tchad et le cout élevé du maintien de la sécurité dans la sous-région, le gouvernement tchadien n'a ménagé aucun effort pour maintenir le dialogue avec ses partenaires sociaux".
Il a assuré que le Gouvernement a pris toutes les dispositions nécessaires à travers la création d'un cadre juridique idéal pour une concertation apaisée dans la perspective de cultiver l'esprit du dialogue social à tous les niveaux.
Les assises de trois jours visent à assainir l’environnement des relations professionnelles et la création des conditions favorables au développement économique et social.
Plusieurs thèmes seront débattus par les participants au cours des trois jours de travaux qui réunissent plusieurs pays francophones d’Afrique.
La présidente de l’IFDS, Mme. Innocence Ntap Ndiaye, a exprimé sa gratitude au chef de l'Etat pour avoir accepté et fait prendre toutes les dispositions idoines pour la bonne tenue de cette 3ème assemblée générale à N’Djaména.
"L'IFDS s'est fixé comme objectif de contribuer au renforcement de la pratique du dialogue social dans l'espace francophone. Pour ce faire, elle a retenu comme stratégie le renforcement de capacités des acteurs, la recherche-action, les échanges et le partage d'expérience Sud-Sud et Nord-Sud sur les pratiques en dialogue social", a indiqué Mme. Innocence Ntap Ndiaye.
Le ministre d'Etat Kalzeubé Payimi Deubet a souligné que la nécessité d’un dialogue tripartite permanent s’impose afin d’apporter des solutions idoines à tous les problèmes sociaux que traverse le continent.
"Le Tchad a perçu très tôt la nécessité de privilégier le dialogue sur tous les plans, notamment avec les partenaires sociaux, les organisations d'employeurs, les travailleurs, pour améliorer l'environnement du travail. Cette volonté manifeste des plus hautes autorités de la République s'inscrit dans le respecte des engagements", a affirmé Kalzeubet Pahimi Deubet.
Selon lui, "malgré les difficultés économiques et financières liées à la chute du prix du pétrole que traverse depuis quelques années le Tchad et le cout élevé du maintien de la sécurité dans la sous-région, le gouvernement tchadien n'a ménagé aucun effort pour maintenir le dialogue avec ses partenaires sociaux".
Il a assuré que le Gouvernement a pris toutes les dispositions nécessaires à travers la création d'un cadre juridique idéal pour une concertation apaisée dans la perspective de cultiver l'esprit du dialogue social à tous les niveaux.