Le manque d’infrastructures scolaires en milieu rural est une question qui préoccupe beaucoup les parents d’élèves et les enseignants.
En effet, une bonne éducation des enfants demande aussi une structure d’accueil bien approprié. De nos jours, la pauvreté gagne le milieu rural, surtout avec la mauvaise répartition pluviométrique, et l’excès des pluies dans certaines zones, occasionnant des inondations et des impacts négatifs sur la production agricole.
Pour ce fait, les parents ont de la peine pour inscrire leurs progénitures à l’école, parce que le rendement de la production agricole est faible. La cotisation des parents d’élèves pour la prise en charge des enseignants vacataires, et la construction d’un hangar, ne répondent pas aux normes.
Sur un effectif de deux cents élèves dans un établissement, il y a seulement 45 élèves dont les parents ont payé les frais de scolarité. Cela ne couvre pas les besoins de l’établissement, et entraîne souvent le mauvais fonctionnement de l’institution. Sur cet écart, si l’établissement scolaire ne fonctionne pas, quel serait l’avenir des enfants en milieu rural ?
À titre d’exemple, dans le département de la Nya, les enfants étudient dans des conditions très précaires, les hangars sont construits de façon dangereuse.
Dans certains établissements en milieu rural, les élèves étudient à l’air libre, alors que la Nya regorge d’énormes potentialités, en l’occurrence l’or noir exploité depuis des années, et qui ne profite pas totalement à ce département en infrastructures scolaires. Où est parti cet argent de l’or noir ? Cette question fait couler tant d’encre et de salive dans la zone pétrolière.
Le gouvernement doit donc répondre à cette question pour soulager un tant soit peu la population de la Nya, en matière de l’éducation des enfants à la base.
En effet, une bonne éducation des enfants demande aussi une structure d’accueil bien approprié. De nos jours, la pauvreté gagne le milieu rural, surtout avec la mauvaise répartition pluviométrique, et l’excès des pluies dans certaines zones, occasionnant des inondations et des impacts négatifs sur la production agricole.
Pour ce fait, les parents ont de la peine pour inscrire leurs progénitures à l’école, parce que le rendement de la production agricole est faible. La cotisation des parents d’élèves pour la prise en charge des enseignants vacataires, et la construction d’un hangar, ne répondent pas aux normes.
Sur un effectif de deux cents élèves dans un établissement, il y a seulement 45 élèves dont les parents ont payé les frais de scolarité. Cela ne couvre pas les besoins de l’établissement, et entraîne souvent le mauvais fonctionnement de l’institution. Sur cet écart, si l’établissement scolaire ne fonctionne pas, quel serait l’avenir des enfants en milieu rural ?
À titre d’exemple, dans le département de la Nya, les enfants étudient dans des conditions très précaires, les hangars sont construits de façon dangereuse.
Dans certains établissements en milieu rural, les élèves étudient à l’air libre, alors que la Nya regorge d’énormes potentialités, en l’occurrence l’or noir exploité depuis des années, et qui ne profite pas totalement à ce département en infrastructures scolaires. Où est parti cet argent de l’or noir ? Cette question fait couler tant d’encre et de salive dans la zone pétrolière.
Le gouvernement doit donc répondre à cette question pour soulager un tant soit peu la population de la Nya, en matière de l’éducation des enfants à la base.