"Le dialogue repose sur la participation équilibrée et représentative de toutes les forces vives de la société tchadienne sans exclusion, ce qui n'est pas encore le cas. Il faut une participation équilibrée et représentative. Nous insistons beaucoup là-dessus", a affirmé Bedoumra Kordjé, aux côtés notamment de Ahmat Hassaballah Soubiane, Dr. Succès Masra et Me. Max Loalngar.
"Si nous allons au dialogue inclusif, il faut que ce soit des discussions utiles, qui nous permettent de prendre des décisions qui permettront au Tchad d'aller vers le chemin de la prospérité et vers la paix", a dit Bedoumra Kordjé.
Et de s'interroger : "De quoi nous allons discuter au dialogue ? Si on ne se met pas d'accord là-dessus, on va perdre beaucoup de temps et le dialogue ne servira à rien. On ne va pas au dialogue pour dire qu'on a des problèmes d'eau, d'électricité ou de routes. On n'a pas besoin d'un dialogue pour ça. Tout le Tchad a des problèmes d'eau, d'électricité ou de routes. (...) Le dialogue c'est pour discuter des questions politiques et institutionnelles. Quelles sont les bases que nous devons mettre en place pour que nous arrivions à développer notre pays".
"Si nous allons au dialogue inclusif, il faut que ce soit des discussions utiles, qui nous permettent de prendre des décisions qui permettront au Tchad d'aller vers le chemin de la prospérité et vers la paix", a dit Bedoumra Kordjé.
Et de s'interroger : "De quoi nous allons discuter au dialogue ? Si on ne se met pas d'accord là-dessus, on va perdre beaucoup de temps et le dialogue ne servira à rien. On ne va pas au dialogue pour dire qu'on a des problèmes d'eau, d'électricité ou de routes. On n'a pas besoin d'un dialogue pour ça. Tout le Tchad a des problèmes d'eau, d'électricité ou de routes. (...) Le dialogue c'est pour discuter des questions politiques et institutionnelles. Quelles sont les bases que nous devons mettre en place pour que nous arrivions à développer notre pays".