Tchad : ouverture des restaurants et marchés, une aubaine pour l'abattoir de Farcha. © Djibrine Haïdar/Alwihda Info
Le porte-parole du collectif du personnel de l'abattoir frigorifique de Farcha, Issa Ousman Sano, s'est félicité jeudi des mesures d'allègements annoncées la veille par les autorités, dans le cadre de la lutte contre la Covid-19.
Selon Issa Ousman Sano, "l'ouverture des restaurants et des marchés permettra à l'abattoir de revenir dans ses fonctions régaliennes. La population de N'Djamena et des environs vont se régaler avec de la viande bien fraiche et bien saine, vérifiée et contrôlée par le service vétérinaire."
Il est revenu sur les désagréments subis par le personnel de l'abattoir ces derniers temps, expliquant que la lutte du personnel s'est déclenchée suite à un malentendu entre l'abattoir frigorifique de Farcha et un soit disant groupe émirati. "Cela nous a paru très sombre et nous étions obligés de faire des démarches", a-t-il dit.
Selon Issa Ousman Sano, "l'ouverture des restaurants et des marchés permettra à l'abattoir de revenir dans ses fonctions régaliennes. La population de N'Djamena et des environs vont se régaler avec de la viande bien fraiche et bien saine, vérifiée et contrôlée par le service vétérinaire."
Il est revenu sur les désagréments subis par le personnel de l'abattoir ces derniers temps, expliquant que la lutte du personnel s'est déclenchée suite à un malentendu entre l'abattoir frigorifique de Farcha et un soit disant groupe émirati. "Cela nous a paru très sombre et nous étions obligés de faire des démarches", a-t-il dit.
Tchad : ouverture des restaurants et marchés, une aubaine pour l'abattoir de Farcha. © Djibrine Haïdar/Alwihda Info
"Aujourd'hui, les bonnes choses sont entrain de revenir. C'est les bons sentiments. Nous ne voulons pas aller en profondeur pour bousculer certaines choses. Mais nous rappelons à nos dirigeants que depuis deux mois, nous avons mis nos mains partout. En cherchant, on a décelé beaucoup de secrets", a dit le porte-parole du collectif.
"Nous, nous réservons le droit de déballer cela. Mais à un moment venu lorsque nous constaterons des dérapages qui touchent nos intérêts, menacent notre expression professionnelle. Alors c'est un incendie qui jaillira", a ajouté Issa Ousman Sano.
Depuis la réouverture de l'abattoir de Farcha le 25 avril dernier, "nous n'avons pas eu à fonctionner normalement" estime Issa Ousman Sano : "Auparavant, l'abattoir avait une autonomie de gestion. Puisque la porte est fermée, les bêtes ne venaient plus pour que nous puissions faire le travail."
"Nous, nous réservons le droit de déballer cela. Mais à un moment venu lorsque nous constaterons des dérapages qui touchent nos intérêts, menacent notre expression professionnelle. Alors c'est un incendie qui jaillira", a ajouté Issa Ousman Sano.
Depuis la réouverture de l'abattoir de Farcha le 25 avril dernier, "nous n'avons pas eu à fonctionner normalement" estime Issa Ousman Sano : "Auparavant, l'abattoir avait une autonomie de gestion. Puisque la porte est fermée, les bêtes ne venaient plus pour que nous puissions faire le travail."