Le ministre des Finances et du Budget, Tahir Hamid Nguilin (milieu) et le président du patronat tchadien, Bichara Doudoua (gauche). © DR/MFD
Douze milliards de Francs CFA, c'est la somme globale que le Trésor public s'apprête à débloquer aux opérateurs économiques afin d'alléger la dette intérieure et soutenir la relance économique. Cette nouvelle est accueillie avec satisfaction par le patronat.
La réduction de la dette intérieure doit permettre de soutenir les efforts du gouvernement visant notamment à augmenter les dépenses sociales et les investissements. La poursuite de cette politique, conjuguée à la poursuite de la mise en œuvre des réformes structurelles, contribuera à stabiliser davantage la situation budgétaire, à dynamiser la croissance non pétrolière et à réduire les vulnérabilités du secteur bancaire, selon le FMI.
D'après le ministre des Finances et du Budget, Tahir Hamid Nguilin, "le gouvernement pour ne pas trop attendre, a préféré mettre en paiement les dossiers qui ont été déjà validés dans leur entièreté pour un montant hors taxes d'environ 12 milliards FCFA."
"C'est ça qu'on a annoncé aux opérateurs, c'est pour que les gens puissent travailler et que la machine économique redémarre, que la confiance s'installe et que nos opérateurs puissent en bonne confiance finir cette année et démarrer une bonne année", a-t-il expliqué ce mercredi.
"Je ne peut que me féliciter de la décision du gouvernement. Le paiement des 30 milliards FCFA a été décidé il y a un bon bout de temps. Avec les fêtes qui arrivent, on nous a débloqué 12 milliards FCFA, c'est déjà une très bonne chose", a souligné pour sa part le président du patronat tchadien, Bichara Doudoua.
D'après le Conseil d'administration du FMI, le Tchad est un pays fragile à faible revenu, fortement tributaire des revenus pétroliers, qui a été fortement touché ces dernières années par un choc pétrolier et des tensions sécuritaires qui se sont intensifiées récemment.
Dans ce contexte, ils ont souligné la nécessité de maintenir la discipline budgétaire tout en mettant en œuvre des réformes pour lever les obstacles structurels persistants aux activités non pétrolières et parvenir à une croissance plus forte et plus inclusive.
La réduction de la dette intérieure doit permettre de soutenir les efforts du gouvernement visant notamment à augmenter les dépenses sociales et les investissements. La poursuite de cette politique, conjuguée à la poursuite de la mise en œuvre des réformes structurelles, contribuera à stabiliser davantage la situation budgétaire, à dynamiser la croissance non pétrolière et à réduire les vulnérabilités du secteur bancaire, selon le FMI.
D'après le ministre des Finances et du Budget, Tahir Hamid Nguilin, "le gouvernement pour ne pas trop attendre, a préféré mettre en paiement les dossiers qui ont été déjà validés dans leur entièreté pour un montant hors taxes d'environ 12 milliards FCFA."
"C'est ça qu'on a annoncé aux opérateurs, c'est pour que les gens puissent travailler et que la machine économique redémarre, que la confiance s'installe et que nos opérateurs puissent en bonne confiance finir cette année et démarrer une bonne année", a-t-il expliqué ce mercredi.
"Je ne peut que me féliciter de la décision du gouvernement. Le paiement des 30 milliards FCFA a été décidé il y a un bon bout de temps. Avec les fêtes qui arrivent, on nous a débloqué 12 milliards FCFA, c'est déjà une très bonne chose", a souligné pour sa part le président du patronat tchadien, Bichara Doudoua.
D'après le Conseil d'administration du FMI, le Tchad est un pays fragile à faible revenu, fortement tributaire des revenus pétroliers, qui a été fortement touché ces dernières années par un choc pétrolier et des tensions sécuritaires qui se sont intensifiées récemment.
Dans ce contexte, ils ont souligné la nécessité de maintenir la discipline budgétaire tout en mettant en œuvre des réformes pour lever les obstacles structurels persistants aux activités non pétrolières et parvenir à une croissance plus forte et plus inclusive.