Le ministre délégué à la Présidence, chargé de la défense nationale, de la sécurité, des anciens combattants et victimes de guerre, Mahamat Abali Salah. © Alwihda Info
L'important nombre de fonctionnaires en poste à l'aéroport international Hassan Djamous de N'Djamena va être drastiquement réduit. Près de 300 personnes sont concernés par cette mesure. La décision a été prise lundi par le ministre délégué à la Présidence, chargé de la défense nationale, de la sécurité, des anciens combattants et victimes de guerre, Mahamat Abali Salah, au cours d'une visite d'inspection des services aéroportuaires.
Le déplacement du ministre visait à vérifier "dans quelles conditions (les) services de sécurité travaillent".
Le ministre a également annoncé le départ des agents de sécurité privée qui seront remplacés par des agents de sécurité de l'aéroport, dépendants des services sécuritaires de l'Etat.
"Concernant l'aéroport de N'Djamena, nous avons donné des orientations de réformes. On est là pour faire la sécurité de nos concitoyens, c'est vrai, mais c'est pas le nombre qui donne un bon résultat, c'est la qualité de travail. Je suis étonné de voir dans notre aéroport de N'Djamena qu'on a seulement deux entrées et que plus de 300 personnes travaillent. On a donné des instructions aux responsables sécuritaires de réduire au maximum les personnes à l'aéroport", a indiqué Mahamat Abali Salah.
"Pire encore, nous avons 300 personnes qui travaillent dans les services sécuritaires mais le travail est confié à une entreprise privée. Nous avons instruit pour diminuer le nombre. C'est le service de sécurité qui s'occupe de la sécurité de l'aéroport. Au Niveau de N'Gueli, nous avons dit la même chose. On est là pour sécuriser nos citoyens, mais on n'est pas obligé de s'afficher", a ajouté le ministre.
L'aéroport de N'Djamena enregistre en moyenne cinq vols par jour, ainsi que plusieurs centaines de départs et d'arrivées de voyageurs.
Le déplacement du ministre visait à vérifier "dans quelles conditions (les) services de sécurité travaillent".
Le ministre a également annoncé le départ des agents de sécurité privée qui seront remplacés par des agents de sécurité de l'aéroport, dépendants des services sécuritaires de l'Etat.
"Concernant l'aéroport de N'Djamena, nous avons donné des orientations de réformes. On est là pour faire la sécurité de nos concitoyens, c'est vrai, mais c'est pas le nombre qui donne un bon résultat, c'est la qualité de travail. Je suis étonné de voir dans notre aéroport de N'Djamena qu'on a seulement deux entrées et que plus de 300 personnes travaillent. On a donné des instructions aux responsables sécuritaires de réduire au maximum les personnes à l'aéroport", a indiqué Mahamat Abali Salah.
"Pire encore, nous avons 300 personnes qui travaillent dans les services sécuritaires mais le travail est confié à une entreprise privée. Nous avons instruit pour diminuer le nombre. C'est le service de sécurité qui s'occupe de la sécurité de l'aéroport. Au Niveau de N'Gueli, nous avons dit la même chose. On est là pour sécuriser nos citoyens, mais on n'est pas obligé de s'afficher", a ajouté le ministre.
L'aéroport de N'Djamena enregistre en moyenne cinq vols par jour, ainsi que plusieurs centaines de départs et d'arrivées de voyageurs.