Le journaliste Martin Inoua Doulguet. Illustration © DR
Dans l'affaire qui oppose notre confrère aux charges de diffamation, association de malfaiteurs informatiques et dénonciation calomnieuse retenues contre lui, une mise en liberté provisoire a été prononcé ce matin au Palais de justice de N'Djaména.
La 5ème chambre de la Cour d'appel de N'Djamena a accepté de relaxer provisoirement le directeur de publication du journal Salam Infos, Martin Inoua Doulguet pour des raisons sanitaires.
Mais son avocat pousse la barre plus loin et dénonce une procédure biaisée sur la qualité de la personne. Il appelle à la nullité pure et simple de cette procédure.''Il s'agit des règles procédurales qui rentrent dans le cadre des lois indisponibles. Ça ne serait pas pour la première fois; cette procédure doit être déclarée nulle'', dit-il.
Sur le fond, le collège des avocats du journaliste accusé, estime qu'il n'y pas de diffamation, ajoutant que la partie adverse n'a pas pu démontrer l'association de malfaiteurs informatiques et la dénonciation calomnieuse.
La 5ème chambre de la Cour d'appel de N'Djamena a accepté de relaxer provisoirement le directeur de publication du journal Salam Infos, Martin Inoua Doulguet pour des raisons sanitaires.
Mais son avocat pousse la barre plus loin et dénonce une procédure biaisée sur la qualité de la personne. Il appelle à la nullité pure et simple de cette procédure.''Il s'agit des règles procédurales qui rentrent dans le cadre des lois indisponibles. Ça ne serait pas pour la première fois; cette procédure doit être déclarée nulle'', dit-il.
Sur le fond, le collège des avocats du journaliste accusé, estime qu'il n'y pas de diffamation, ajoutant que la partie adverse n'a pas pu démontrer l'association de malfaiteurs informatiques et la dénonciation calomnieuse.