L'enseignant chercheur à l'Université Adam Barka, Dr. Youssouf Khalil Ahmat, a animé ce dimanche à l'hôtel de ville d'Abéché, une conférence-débat axée sur le thème de la "collaboration entre le pouvoir public et la société civile pour le développement". L'évènement, organisé par l'association tchadienne pour l'appui à la décentralisation et à la promotion de la conduite urbaine, a eu lieu en présence d'enseignants-chercheurs, d'étudiants et de nombreux participants.
Le conférencier s'est notamment penchée sur le rôle du pouvoir public dans la mise en oeuvre des politiques publiques, du rôle de la société civile dans la mise en oeuvre des politiques de développement, et des voies et moyens de renforcer la collaboration de la société dans la mise en place des politiques publiques.
"Le développement ne peut se faire sans fondement fort, commun entre le pouvoir public et la société civile, l'apport des organisations non gouvernementales et la collaboration avec elles est un impératif pour les services publics parce qu'elles fait partie des axes important dans la mise en place des politiques publiques dans le pays", a souligné Dr. Youssouf Khalil Ahmat.
Le rôle du pouvoir exécutif, législatif, judiciaire, des partis politiques, des groupes de pression (organisations et associations non gouvernementales), des groupes d'intérêts (syndicats, etc) et des citoyens, a été particulièrement mis en exergue. "Ces organisations peuvent avoir un système d'idéologie ou humanitaire lorsque sa pression est orientée vers la défense des droits de l'Homme en général ou l'environnement, la lutte contre le communautarisme, la différence et ausi pour la promotion de la culture citadine ou urbaine. Il y a aussi des groupes qui font pression de politique interne pour impacter positivement le pouvoir législatif", selon Dr. Youssouf Khalil Ahmat.
Il a estimé que pour assurer et garantir la collaboration parfaite de la société civile dans la transmission des données et informations, des vérités et de concertations idoines pour le développement, il est possible de profiter de la présence de la société civile, notamment lorsque des chefs de services publiques acceptent les informations et orientations partagées pour réaliser le programme de développement.
"La construction d'une citoyenneté positive et active, et la présence d'une société civile dynamique et forte, capable de répondre aux besoins du présent et futur, tous ces paramètres exigent la création de chances pour l'instruction et la formation supérieure adéquate et aussi l'adhésion aux organisations et groupements volontaristes", a plaidé le conférencier.
Il a indiqué qu'il est nécessaire que soit reconnu un droit du public d'avoir accès aux informations et données étatiques ; de faire participer tous les groupes sans exclure les opposants à un projet ; et de mieux privilégier la culture du dialogue, de la collaboration, de l'écoute, de la sensibilité, et de comprendre et accepter l'avis de l'autre.
En somme, il revient aux plus hautes autorités de synthétiser et de rendre publique les politiques générales pour plus d'efficacité et de rendement.
Le conférencier s'est notamment penchée sur le rôle du pouvoir public dans la mise en oeuvre des politiques publiques, du rôle de la société civile dans la mise en oeuvre des politiques de développement, et des voies et moyens de renforcer la collaboration de la société dans la mise en place des politiques publiques.
"Le développement ne peut se faire sans fondement fort, commun entre le pouvoir public et la société civile, l'apport des organisations non gouvernementales et la collaboration avec elles est un impératif pour les services publics parce qu'elles fait partie des axes important dans la mise en place des politiques publiques dans le pays", a souligné Dr. Youssouf Khalil Ahmat.
Le rôle du pouvoir exécutif, législatif, judiciaire, des partis politiques, des groupes de pression (organisations et associations non gouvernementales), des groupes d'intérêts (syndicats, etc) et des citoyens, a été particulièrement mis en exergue. "Ces organisations peuvent avoir un système d'idéologie ou humanitaire lorsque sa pression est orientée vers la défense des droits de l'Homme en général ou l'environnement, la lutte contre le communautarisme, la différence et ausi pour la promotion de la culture citadine ou urbaine. Il y a aussi des groupes qui font pression de politique interne pour impacter positivement le pouvoir législatif", selon Dr. Youssouf Khalil Ahmat.
Il a estimé que pour assurer et garantir la collaboration parfaite de la société civile dans la transmission des données et informations, des vérités et de concertations idoines pour le développement, il est possible de profiter de la présence de la société civile, notamment lorsque des chefs de services publiques acceptent les informations et orientations partagées pour réaliser le programme de développement.
"La construction d'une citoyenneté positive et active, et la présence d'une société civile dynamique et forte, capable de répondre aux besoins du présent et futur, tous ces paramètres exigent la création de chances pour l'instruction et la formation supérieure adéquate et aussi l'adhésion aux organisations et groupements volontaristes", a plaidé le conférencier.
Il a indiqué qu'il est nécessaire que soit reconnu un droit du public d'avoir accès aux informations et données étatiques ; de faire participer tous les groupes sans exclure les opposants à un projet ; et de mieux privilégier la culture du dialogue, de la collaboration, de l'écoute, de la sensibilité, et de comprendre et accepter l'avis de l'autre.
En somme, il revient aux plus hautes autorités de synthétiser et de rendre publique les politiques générales pour plus d'efficacité et de rendement.