L'interdiction de circulation des bus de transport en commun est une aubaine pour les moto-taxis "clandos". Ils étaient visibles en nombre ce lundi dans la capitale, pour pallier à l'absence de transports en commun.
Contrairement à dimanche, le mot d'ordre a été globalement respecté par les bus. Les autorités ont d'ailleurs promis la fermeté face aux éventuels récalcitrants.
Plusieurs jeunes de la ville ont décidé de "transformer" leur moto à usage personnel en clando. De quoi se faire de l'argent durant la fermeture de l'ensemble des établissements d'enseignement, une autre mesure de prévention prise face à la pandémie du coronavirus.
La restriction des transports n'est pas sans conséquences. Les conducteurs de motos n'hésitent pas à augmenter les prix. "Non négociable", disent-ils.
Certains proposent même les "100 mètres à 500 Francs CFA" pour rallier la périphérie de la capitale au centre-ville, tandis que d'autres proposent des courses avec des prix en hausse de 50 à 100% pour certains trajets.
Les taxis circulent normalement mais sont tenus de ne pas embarquer plus de trois passagers. La police veille minutieusement au respect de ces règles.
A ce jour, le Tchad compte trois cas confirmés de personnes infectées du coronavirus. La cellule de veille et de sécurité sanitaire redouble d'efforts pour éviter une propagation.
Contrairement à dimanche, le mot d'ordre a été globalement respecté par les bus. Les autorités ont d'ailleurs promis la fermeté face aux éventuels récalcitrants.
Plusieurs jeunes de la ville ont décidé de "transformer" leur moto à usage personnel en clando. De quoi se faire de l'argent durant la fermeture de l'ensemble des établissements d'enseignement, une autre mesure de prévention prise face à la pandémie du coronavirus.
La restriction des transports n'est pas sans conséquences. Les conducteurs de motos n'hésitent pas à augmenter les prix. "Non négociable", disent-ils.
Certains proposent même les "100 mètres à 500 Francs CFA" pour rallier la périphérie de la capitale au centre-ville, tandis que d'autres proposent des courses avec des prix en hausse de 50 à 100% pour certains trajets.
Les taxis circulent normalement mais sont tenus de ne pas embarquer plus de trois passagers. La police veille minutieusement au respect de ces règles.
A ce jour, le Tchad compte trois cas confirmés de personnes infectées du coronavirus. La cellule de veille et de sécurité sanitaire redouble d'efforts pour éviter une propagation.