Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul, participant au dialogue national, s'oppose à la constitutionnalisation des ressources nationales. Cette suggestion a été mise en avant par des participants, notamment Me. Phillipe Houssinet.
"Nous sommes en train de fuir cette responsabilité. C'est vrai, c'est un sujet clivant. Il aurait été plus courageux de faire un choix : si nous constitutionnalisations la répartition des ressources, nous ne serons plus dans la décentralisation", indique-t-il.
Il estime qu'il n'est pas raisonnable "d'envoyer cette patate chaude à nos populations qui ont du mal à faire la différence entre fédération et État unitaire".
Par ailleurs, Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul estime que "personne ne porte un intérêt sur les conditions dans lesquelles il va falloir organiser les futures élections pour déboucher sur des résultats incontestés et incontestables".
S'agissant de l'éligibilité des dirigeants de transition aux élections, l'intervenant affirme que "c'est un droit". Et d'ajouter : "le dialogue doit laisser la responsabilité de ce choix à tous ceux qui se préparent ou qui vont se préparer".
"Je ne comprends pas ceux qui proposent 36 mois. 24 mois, c'est largement suffisant. (...) 24 mois maximum", conclut Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul à propos de la seconde phase de transition.
"Nous sommes en train de fuir cette responsabilité. C'est vrai, c'est un sujet clivant. Il aurait été plus courageux de faire un choix : si nous constitutionnalisations la répartition des ressources, nous ne serons plus dans la décentralisation", indique-t-il.
Il estime qu'il n'est pas raisonnable "d'envoyer cette patate chaude à nos populations qui ont du mal à faire la différence entre fédération et État unitaire".
Par ailleurs, Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul estime que "personne ne porte un intérêt sur les conditions dans lesquelles il va falloir organiser les futures élections pour déboucher sur des résultats incontestés et incontestables".
S'agissant de l'éligibilité des dirigeants de transition aux élections, l'intervenant affirme que "c'est un droit". Et d'ajouter : "le dialogue doit laisser la responsabilité de ce choix à tous ceux qui se préparent ou qui vont se préparer".
"Je ne comprends pas ceux qui proposent 36 mois. 24 mois, c'est largement suffisant. (...) 24 mois maximum", conclut Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul à propos de la seconde phase de transition.