C'est pour pallier aux effets néfastes du changement climatique et de la sécheresse, qui impactent négativement la production agricole, que le ministère de l'Environnement, de la Pêche et du Développement durable, et l'Organisation des Nations-Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), ont procédé à la signature d'une convention dénommée : « Augmenter les co-investissements public-privé pour l'action climatique dans les agro-alimentaires ».
La signature de cette convention a eu lieu ce mercredi 7 août 2024, au ministère de l'Environnement.
Dans son allocution de circonstance, le représentant de la FAO au Tchad, Marc Mankoussou, a rappelé l'importance de l'application du plan de travail conjoint, signé lors de la Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations-Unies sur le changement climatique (COP27), à Charm-el-Cheikh en Égypte.
Ce plan conjoint vise à se concentrer sur la mise en œuvre des stratégies d'adaptation et d'atténuation du changement climatique, mais aussi sur la réalisation de co-bénéfices et le renforcement des capacités, sur la technologie et le financement pour l'agriculture. Marc Mankoussou a également expliqué la nécessité pour le secteur privé de financer et d'intensifier la mise en œuvre de l'action climatique, aux côtés des financiers publics.
Le ministre de l'Environnement, de la Pêche et du Développement durable, Idriss Saleh Bachar, a quant à lui, tout en saluant l'accompagnement de la FAO dans le secteur agro-alimentaire, indiqué que cette convention va permettre une fois de plus à renforcer les capacités des différents acteurs, et leur permettre d'accéder aux financements, pour mettre en œuvre les différents projets climatiques.
Idriss Saleh Bachar a aussi rassuré le responsable de la FAO, que son département mettra tout en œuvre, pour respecter l'ensemble des engagements.
Faut-il le rappeler, le secteur agricole au Tchad, contribue à hauteur de 46% au Produit Intérieur Brut (PIB), et emploie environ 75% de la population, dont 45% sont des femmes. Il tourne essentiellement autour de l’agriculture de subsistance.
Cette convention est financée par le Fonds vert pour le climat, d'un montant de 200 000 de dollars américains, et cela pour une durée de 36 mois.
La signature de cette convention a eu lieu ce mercredi 7 août 2024, au ministère de l'Environnement.
Dans son allocution de circonstance, le représentant de la FAO au Tchad, Marc Mankoussou, a rappelé l'importance de l'application du plan de travail conjoint, signé lors de la Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations-Unies sur le changement climatique (COP27), à Charm-el-Cheikh en Égypte.
Ce plan conjoint vise à se concentrer sur la mise en œuvre des stratégies d'adaptation et d'atténuation du changement climatique, mais aussi sur la réalisation de co-bénéfices et le renforcement des capacités, sur la technologie et le financement pour l'agriculture. Marc Mankoussou a également expliqué la nécessité pour le secteur privé de financer et d'intensifier la mise en œuvre de l'action climatique, aux côtés des financiers publics.
Le ministre de l'Environnement, de la Pêche et du Développement durable, Idriss Saleh Bachar, a quant à lui, tout en saluant l'accompagnement de la FAO dans le secteur agro-alimentaire, indiqué que cette convention va permettre une fois de plus à renforcer les capacités des différents acteurs, et leur permettre d'accéder aux financements, pour mettre en œuvre les différents projets climatiques.
Idriss Saleh Bachar a aussi rassuré le responsable de la FAO, que son département mettra tout en œuvre, pour respecter l'ensemble des engagements.
Faut-il le rappeler, le secteur agricole au Tchad, contribue à hauteur de 46% au Produit Intérieur Brut (PIB), et emploie environ 75% de la population, dont 45% sont des femmes. Il tourne essentiellement autour de l’agriculture de subsistance.
Cette convention est financée par le Fonds vert pour le climat, d'un montant de 200 000 de dollars américains, et cela pour une durée de 36 mois.