La première édition du Festival tchadien du film de court métrage a été lancée dimanche dans le 7ème arrondissement de N'Djamena. Selon les organisateurs, le Festival vise à proposer une parenthèse de vie autour du cinéma amateur sur la thématique de la cohésion sociale, gage majeur du développement durable.
Le président du Festival, Ahmat Mahamat, a indiqué que l'évènement se tient "dans un contexte national particulièrement difficile où de nombreux indicateurs économiques sont au rouge et les conflits intercommunautaires récurrents". Il a relevé le caractère important de l'évènement pour l'émergence du cinéma au Tchad.
Il a estimé que "cette édition marque le début d'une aventure cinématographique", et que "l'ambition est d'en faire un évènement majeur pour le développement du cinéma amateur."
"A travers le cinéma, nous, nous investissons tous pour que la culture de la paix et de la tolérance s'enracine solidement dans notre pays, pour que la cohésion sociale soit une réalité vécue par tous", a-t-il ajouté.
Le maire du 7ème arrondissement de N'Djamena, Ahmat Mahamat Guéme, s'est félicité de l'organisation de cet évènement qui vise à véhiculer le message de la paix et de la cohésion sociale.
"Le choix du 7ème arrondissement pour le lancement du Festival n'est pas le fruit du hasard. Vous avez choisi une commune qui représente le Tchad en miniature. C'est l'une des grandes communes de la capitale voire même du Tchad où toutes les communautés s'y trouvent. La paix n'a pas de prix. Ce n'est pas facile, nous sommes dans une situation conjoncturelle, économiquement difficile. Je vous félicite et je vous encourage car dans ce contexte difficile, vous arrivez quand même à réaliser ces activités. C'est une action louable", a déclaré le maire du 7ème arrondissement de N'Djamena, Ahmat Mahamat Guéme.
Le maire a promis le soutien de sa commune et a émis le souhait que le Festival soit étendu à l'avenir à l'ensemble de la capitale, voire tout le Tchad.
Le président du Festival, Ahmat Mahamat, a indiqué que l'évènement se tient "dans un contexte national particulièrement difficile où de nombreux indicateurs économiques sont au rouge et les conflits intercommunautaires récurrents". Il a relevé le caractère important de l'évènement pour l'émergence du cinéma au Tchad.
Il a estimé que "cette édition marque le début d'une aventure cinématographique", et que "l'ambition est d'en faire un évènement majeur pour le développement du cinéma amateur."
"A travers le cinéma, nous, nous investissons tous pour que la culture de la paix et de la tolérance s'enracine solidement dans notre pays, pour que la cohésion sociale soit une réalité vécue par tous", a-t-il ajouté.
Le maire du 7ème arrondissement de N'Djamena, Ahmat Mahamat Guéme, s'est félicité de l'organisation de cet évènement qui vise à véhiculer le message de la paix et de la cohésion sociale.
"Le choix du 7ème arrondissement pour le lancement du Festival n'est pas le fruit du hasard. Vous avez choisi une commune qui représente le Tchad en miniature. C'est l'une des grandes communes de la capitale voire même du Tchad où toutes les communautés s'y trouvent. La paix n'a pas de prix. Ce n'est pas facile, nous sommes dans une situation conjoncturelle, économiquement difficile. Je vous félicite et je vous encourage car dans ce contexte difficile, vous arrivez quand même à réaliser ces activités. C'est une action louable", a déclaré le maire du 7ème arrondissement de N'Djamena, Ahmat Mahamat Guéme.
Le maire a promis le soutien de sa commune et a émis le souhait que le Festival soit étendu à l'avenir à l'ensemble de la capitale, voire tout le Tchad.