Un habitant du village Foultouwore, canton Doué, département de Mayo Dallah, province du Mayo Kebbi Ouest, parti visiter son champ vers 15 heures le soir du 02 juillet 2020, a trouvé sa culture de sorgho envahie par un troupeau de bœufs.
Ce dernier a directement affronté deux bouviers sous l'effet de la colère. Après séparation par un autre bouvier qui observait la scène, cela a mobilisé plusieurs agriculteurs et éleveurs bien armés, après alerte des villages Foultouwore et Towore. C'est ce qui a conduit à un affrontement entre les deux groupes avec des armes blanches.
Le bilan de l'accrochage présente cinq personnes blessées dont quatre par flèches et une autre des suites de bastonnade lors de la bagarre.
Cet incident a conduit le sous-préfet de Lamé, Brahim Issa Hamid, à envoyer le même soir des agents de sécurité sur le terrain afin de ramener le calme et mettre fin à la bataille. Les militaires ont à cet effet passé des nuits et des jours dans le champ à problème.
Le lendemain, après la descente du sous-préfet de Lamé, Brahim Issa Hamid, dans le village Foultouwore, quelques personnes ont été arrêtées pour les besoins d'enquête.
Le préfet a exhorté les agriculteurs et les éleveurs à faire la paix en respectant les couloirs de transhumance, et à éviter d'installer des champs pièges. Pour lui, les chefs traditionnels doivent jouer leurs rôles de sensibilisateurs et de médiateurs en cas de malentendus des les villages.
Ce dernier a directement affronté deux bouviers sous l'effet de la colère. Après séparation par un autre bouvier qui observait la scène, cela a mobilisé plusieurs agriculteurs et éleveurs bien armés, après alerte des villages Foultouwore et Towore. C'est ce qui a conduit à un affrontement entre les deux groupes avec des armes blanches.
Le bilan de l'accrochage présente cinq personnes blessées dont quatre par flèches et une autre des suites de bastonnade lors de la bagarre.
Cet incident a conduit le sous-préfet de Lamé, Brahim Issa Hamid, à envoyer le même soir des agents de sécurité sur le terrain afin de ramener le calme et mettre fin à la bataille. Les militaires ont à cet effet passé des nuits et des jours dans le champ à problème.
Le lendemain, après la descente du sous-préfet de Lamé, Brahim Issa Hamid, dans le village Foultouwore, quelques personnes ont été arrêtées pour les besoins d'enquête.
Le préfet a exhorté les agriculteurs et les éleveurs à faire la paix en respectant les couloirs de transhumance, et à éviter d'installer des champs pièges. Pour lui, les chefs traditionnels doivent jouer leurs rôles de sensibilisateurs et de médiateurs en cas de malentendus des les villages.