Adoumabaye Guidéyanan Djiadingué indique que ce conflit a créé un mouvement massif des habitants de plusieurs villages a savoir : Pra 1, Pra 2, Goro, Kawaingo et Ikon vers le village Koutou, dans le canton Djoli.
À ce jour, on dénombre 1113 déplacés soit 171 ménages, 909 enfants et 27 femmes enceintes.
Pour faire face à la situation, un comité de crise a été mis sur pied afin de soulager les difficultés auxquelles font face ces déplacés.
Le représentant de l’ADACS, Adoumabaye Guidéyanan Djiadingué, souligne que malgré le soutien du comité de crise, des autorités de la province du Moyen-Chari et de quelques ONG, la situation reste précaire et difficile (manque de logements, nourriture, soins et eau potable).
"La situation perdure à telle enseigne que ces déplacés sont regroupés dans des ménages à cause de l’insécurité. Un ménage du village Koutou est constitué d’au moins 15 à 20 personnes", détaille Adoumabaye Guidéyanan Djiadingué.
Le représentant de l'ADACS lance un cri d’alarme afin de venir en aide à la population en détresse.
À ce jour, on dénombre 1113 déplacés soit 171 ménages, 909 enfants et 27 femmes enceintes.
Pour faire face à la situation, un comité de crise a été mis sur pied afin de soulager les difficultés auxquelles font face ces déplacés.
Le représentant de l’ADACS, Adoumabaye Guidéyanan Djiadingué, souligne que malgré le soutien du comité de crise, des autorités de la province du Moyen-Chari et de quelques ONG, la situation reste précaire et difficile (manque de logements, nourriture, soins et eau potable).
"La situation perdure à telle enseigne que ces déplacés sont regroupés dans des ménages à cause de l’insécurité. Un ménage du village Koutou est constitué d’au moins 15 à 20 personnes", détaille Adoumabaye Guidéyanan Djiadingué.
Le représentant de l'ADACS lance un cri d’alarme afin de venir en aide à la population en détresse.