Le parti politique Rassemblement pour la démocratie et la cohésion (RDC) a lancé officiellement ce vendredi à la Bibliothèque nationale de N'Djamena, ses activités, sous la devise de la paix, de la solidarité et de la cohabitation.
D’après le président Mahamat Nour Issakha, la naissance du parti provient d’une constatation drastique : celui d’un Tchad considérablement riche mais dont la majorité de la population croupit dans une misère sans pareil.
"Le pays producteur du pétrole est bénéficiaire d’une énorme solidarité internationale, mais le Tchad continue à être compté parmi les pays les plus pauvres de la planète. C’est cette contradiction qui motive la création du RDC qui se base sur un état des lieux pour amener les militants à exercer leur devoir de responsabilité afin de construire une société nouvelle", a expliqué Mahamat Nour Issakha.
Il a cité plusieurs maux dont le pays souffre aujourd'hui : le problème de gouvernance, de la gestion de la chose publique, le détournement des deniers publics avec l’impunité, la corruption, le tribalisme, le clientélisme, le régionalisme, les nominations sans tenir compte des compétences, la gabegie. Selon lui, "ces maux rendent les tchadiens misérables de nos jours."
Le RDP se fixe comme objectif de construire une société nouvelle où tous les tchadiens doivent vivre paisiblement et librement selon leur désir.
"Il s’agira de développer la culture de la paix en cherchant les solutions définitives aux conflits armes, aux conflit sociaux et aux conflits éleveurs-agriculteurs entretenus par certaines autorités locales, qui résultent essentiellement de l’injustice. La lutte pour l’instauration de l’inégalité réelle doit être entreprise à travers l’éducation qui doit permettre à chaque Homme de préparer son avenir en toute sécurité. Tous le tchadiens doivent être sécurisés de la même manière. Et la solidarité active permettra de révéler les inégalités", a expliqué le président du RDC, Mahamat Nour Issakha.
Etant donné que les services publics jouent un rôle essentiel pour favoriser l’égalité entre les citoyens et l’accès de tous aux biens publics fondamentaux, le parti entend définir dans une loi-cadre, les missions de service public ainsi que les obligations qui en découlent et leur périmètre.
« Il s’agit ici d’assurer le respect de la loi en bannissant l’impunité et en instaurant un véritable Etat de droit, deux conditions nécessaires pour un développement harmonieux. Cette responsabilité doit également s’exercer par rapport à la planète dont nous avons la garde ainsi que face aux générations futures qui doivent leur vie à notre action », justifie le n°1 du parti.
Il précise que le développement durable, la coopération internationale et la mise en pratique des bonnes mesures de régulation du monde sont autant des formes modernes de la responsabilité.
Et d’ajouter que « la jeunesse sera à la conduite de toutes nos actions. La jeunesse sera formée dans les grandes écoles de formation qui seront créées pour la circonstance et automatiquement employées pour relever le défi du sous-développement ».
Le parti compte être présent à toutes les échéances électorales à venir. « Nous croyons en nos capacités d’actions, nous y arriverons », dit le président du RDC.
D’après le président Mahamat Nour Issakha, la naissance du parti provient d’une constatation drastique : celui d’un Tchad considérablement riche mais dont la majorité de la population croupit dans une misère sans pareil.
"Le pays producteur du pétrole est bénéficiaire d’une énorme solidarité internationale, mais le Tchad continue à être compté parmi les pays les plus pauvres de la planète. C’est cette contradiction qui motive la création du RDC qui se base sur un état des lieux pour amener les militants à exercer leur devoir de responsabilité afin de construire une société nouvelle", a expliqué Mahamat Nour Issakha.
Il a cité plusieurs maux dont le pays souffre aujourd'hui : le problème de gouvernance, de la gestion de la chose publique, le détournement des deniers publics avec l’impunité, la corruption, le tribalisme, le clientélisme, le régionalisme, les nominations sans tenir compte des compétences, la gabegie. Selon lui, "ces maux rendent les tchadiens misérables de nos jours."
Le RDP se fixe comme objectif de construire une société nouvelle où tous les tchadiens doivent vivre paisiblement et librement selon leur désir.
"Il s’agira de développer la culture de la paix en cherchant les solutions définitives aux conflits armes, aux conflit sociaux et aux conflits éleveurs-agriculteurs entretenus par certaines autorités locales, qui résultent essentiellement de l’injustice. La lutte pour l’instauration de l’inégalité réelle doit être entreprise à travers l’éducation qui doit permettre à chaque Homme de préparer son avenir en toute sécurité. Tous le tchadiens doivent être sécurisés de la même manière. Et la solidarité active permettra de révéler les inégalités", a expliqué le président du RDC, Mahamat Nour Issakha.
Etant donné que les services publics jouent un rôle essentiel pour favoriser l’égalité entre les citoyens et l’accès de tous aux biens publics fondamentaux, le parti entend définir dans une loi-cadre, les missions de service public ainsi que les obligations qui en découlent et leur périmètre.
« Il s’agit ici d’assurer le respect de la loi en bannissant l’impunité et en instaurant un véritable Etat de droit, deux conditions nécessaires pour un développement harmonieux. Cette responsabilité doit également s’exercer par rapport à la planète dont nous avons la garde ainsi que face aux générations futures qui doivent leur vie à notre action », justifie le n°1 du parti.
Il précise que le développement durable, la coopération internationale et la mise en pratique des bonnes mesures de régulation du monde sont autant des formes modernes de la responsabilité.
Et d’ajouter que « la jeunesse sera à la conduite de toutes nos actions. La jeunesse sera formée dans les grandes écoles de formation qui seront créées pour la circonstance et automatiquement employées pour relever le défi du sous-développement ».
Le parti compte être présent à toutes les échéances électorales à venir. « Nous croyons en nos capacités d’actions, nous y arriverons », dit le président du RDC.