Le réseau des journalistes-reporters tchadiens a célébré ce samedi 4 mai au CEFOD, la 26ème édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse. © Alwihda Info
Le réseau des journalistes-reporters tchadiens a célébré ce samedi 4 mai au CEFOD, la 26ème édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse. D'anciens journalistes et des enseignants-chercheurs de la Faculté de N'Djamena se sont réunis pour échanger et donner des orientations afin de renforcer la couverture des reportages et la recherche de l'information sur le terrain.
Parmi les panélistes figurait Mme. Samia Saadaoui, coordinatrice de l'antenne de l'UNESCO au Tchad, Maoudonodji Gilbert, juriste politologue et défenseur des droits humains, Laldjim Narcisse Mbainadji, ancien journaliste et analyste politique, et Maître Adolphe Bekoutou, avocat au Barreau du Tchad.
La coordinatrice de l'UNESCO au Tchad a promis l'octroi d'une formation aux femmes reporters pour leur renforcement en matière journalistique.
"La liberté de la presse est la pierre angulaire des sociétés démocratiques. Tous les États, toutes les nations se fortifient par l'information, le débat et la confrontation des points de vue", a rappelé la directrice générale de l'UNESCO, Audrey Azoulay à l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse.
"L'impunité des crimes commis contre les journalistes est un menace et nous impose une vigilance sans cesse renouvelée. Nous devons agir ensemble pour protéger la liberté d'expression et la sécurité des journalistes", d'après Audrey Azoulay. Si la liberté d'expression et la sécurité des journalistes sont protégées, les médias peuvent jouer un rôle essentiel dans la prévention des conflits et dans le soutien aux processus démocratiques pacifiques. Ces résultats sont les conditions nécessaires à la réalisation de l'Agenda 2063 de l'union Africaine qui appelle à une Afrique de la bonne gouvernance, de la démocratie, du respect des droits de l'Homme, de la justice et de l'État de droit.
L'observatoire de l'UNESCO dénombre 99 meurtres de journalistes en 2018, et 1307 assassinats de journalistes au total entre 1994 et 2018.
Parmi les panélistes figurait Mme. Samia Saadaoui, coordinatrice de l'antenne de l'UNESCO au Tchad, Maoudonodji Gilbert, juriste politologue et défenseur des droits humains, Laldjim Narcisse Mbainadji, ancien journaliste et analyste politique, et Maître Adolphe Bekoutou, avocat au Barreau du Tchad.
La coordinatrice de l'UNESCO au Tchad a promis l'octroi d'une formation aux femmes reporters pour leur renforcement en matière journalistique.
"La liberté de la presse est la pierre angulaire des sociétés démocratiques. Tous les États, toutes les nations se fortifient par l'information, le débat et la confrontation des points de vue", a rappelé la directrice générale de l'UNESCO, Audrey Azoulay à l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse.
"L'impunité des crimes commis contre les journalistes est un menace et nous impose une vigilance sans cesse renouvelée. Nous devons agir ensemble pour protéger la liberté d'expression et la sécurité des journalistes", d'après Audrey Azoulay. Si la liberté d'expression et la sécurité des journalistes sont protégées, les médias peuvent jouer un rôle essentiel dans la prévention des conflits et dans le soutien aux processus démocratiques pacifiques. Ces résultats sont les conditions nécessaires à la réalisation de l'Agenda 2063 de l'union Africaine qui appelle à une Afrique de la bonne gouvernance, de la démocratie, du respect des droits de l'Homme, de la justice et de l'État de droit.
L'observatoire de l'UNESCO dénombre 99 meurtres de journalistes en 2018, et 1307 assassinats de journalistes au total entre 1994 et 2018.